Tu es encore en retard ♦ Oui, j'espère que je ne suis pas enceinte ! • Sky

❖ Nom Le nom de Morgan m'a été donné par cet homme que je nommais "papa" durant toute mon enfance. ❖ Prénom(s) Ma mère a du choisir le prénom de Skylar lorqu'elle s'est retrouvée seule et un peu avant de rencontrer celui que j'ai nommé "papa". ❖ Date et lieu de naissance Je suis née après quelques heures de travail que ma mère a qualifiée de terrible au crépuscule de ce 2 août 1995 dans cette ville quelque peu charmante qu'est Chicago. ❖ Nationalité Je pense pouvoir affirmer à presque 100% que je suis une véritable Américaine mais sans les fast food et le gras qui va avec. ❖ Orientation sexuelle Hétéro. ❖ Statut civil Actuellement célibataire, je ne recherche rien car j'ai bien d'autres préoccupations en tête pour le moment. Comme ma famille par exemple. ❖ Profession et/ou études J'ai fini le lycée depuis quelques années mais ne sachant pas quoi faire de ma vie j'ai d'abord commencé par prendre une année pour réfléchir. J'ai trouvé un petit job et depuis ça continue car je ne sais pas quoi faire de ma vie. ❖ Décris ton personnage en quelques adjectifs Courageuse - Curieuse - Indépendante - Intelligente - Jalouse - Malicieuse - Joueuse - Ouverte - Optimiste - Persévérante - Spontanée - Prudente - Vivante ❖Avatar Katherine McNamara ❖ Groupe La question sinusoïdale ❖ Crédits tumblr


L'hémorragie de tes désirs s'est éclipsée sous la joue bleue dérisoire

Je ne sais toujours pas ce que je vais bien pouvoir faire de ma vie. Je n'ai aucune idée du métier que je veux faire ou encore où je m'imagine dans quelques années. Je ne suis pas la fille qui était la super pompom girl au lycée, je ne suis pas non plus la geek qui passe ses journées derrière un écran ni même l'écolo qui rêve de changer le monde. Je ne suis pas non plus la fan de politique qui souhaite révolutionner le monde avec un programme au point. Non, je suis simplement moi, la fille qui aime manger des tranches de fromage avec du Nutella dessus (oui je sais sur le coup c'est bizarre à dire mais c'est vraiment bon !), je suis la fille qui aime lire un livre de temps à autre ou même passé du temps au cinéma avec des amis. Je suis la fille qui arrive à passer inaperçue parce que je le souhaite. Les autres personnes ne m'intéressent pas vraiment et encore moins ceux qui font tout pour être populaire. Non pas que je les déteste, non, je m'entends d'ailleurs bien avec quelques uns d'entre eux, mais je les trouve comme d'une espèce à part lorsque je les vois plaire à tout le monde. Je ne veux pas être de celle qui plait à tout le monde ni même être celle qui ne plait à personne. C'est peut-être banal mais j'aime tomber dans cette "normalité" que la jeunesse impose à la société maintenant. Je m'habille normalement, ne rit pas à outrance lorsque l'on me dit une blague dans les couloirs du lycée. Les regards sur moi me perturbe de temps en temps, je n'aime pas me sentir épiée. J'apprécie d'écouter de la musique en dessinant sous les rayons du soleil au bord de la mer. J'aime cette brise qui me rafraichit. Mais par dessus tout j'aime l'évasion que me procure mes dessins, chaque chose que je dessine à d'abord prit vie dans ma tête avant de glisser le long de mes doigts.

Que penses-tu de la ville de Los Angeles ? A vrai dire, je ne sais pas encore ce que j'en pense réellement. Je viens d'arriver et si l'on m'avait proposé de venir de mon plein gré alors peut-être que je ne serais jamais venue. J'ai tout quitté pour venir ici, le peu de famille, mes amis. Alors que dire d'un endroit totalement inconnu qui ne me plait pas vraiment de base ? Je verrais avec le temps ce que je peux penser de cette ville. Concernant ton groupe choisi, pourquoi avoir choisi celui-ci ? N'étant pas d'une nature à sortir énormément ni à m'énerver à la moindre occasion que je peux avoir et je ne suis pas du tout à être du genre à rêver du prince charmant ou encore du grand amour. Je suis d'une nature posée et un peu plus réfléchie alors il me semble que ce groupe est le mieux adapté à ma situation, à moi.Quel est ton petit secret ? Mon secret est également le secret de ma mère, celui qu'elle a tenue durant toutes ces années sans oser me dire quoi que ce soit. Je ne sais pas vraiment pourquoi elle ne m'en a jamais parlé, mais aujourd'hui je compte bien remédier à toutes ces années de mensonges. Mon père n'est pas celui qui est décédé dans cet accident de voiture qui l'a entrainé lui et ma mère. Mon père est Raphaël, Raphaël Grimes.

Du temps qui se passe contre duquel on ne peut rien...

Parce que nous sommes curieuses, forcément, nous allons te demander touuuuut un tas d'informations bien croustillantes à ton sujet. Ton prénom/pseudo Nadouuuu Ton petit âge 21 je vais sur les 22 Ce que tu fais dans la vie à part tuer des gens J'bouffe des barquettes de fraises de 500g avec des œufs au chocolat sans en laisser à mon chéri Où as-tu connu le forum? Yeeeee ne sais plouuuu Un dernier petit mot Je vous nem (comme la bouffe)


Être ou ne pas être, telle est la question sinusoïdale de l'anachorète hypochondriaque

Code:

[b]Katherine McNamara :[/b][i][url=http://vice-et-versa.forumactif.org/t2470-tu-es-encore-en-retard-oui-j-espere-que-je-ne-suis-pas-enceinte-o-sky] Skylar Morgan[/url][/i]
[b]Skylar Morgan : [/b][i]Downton[/i]
[b]Skylar Morgan : [/b][i]Enchaine des petits boulots[/i]

Un jour, j’ai eu un animal de compagnie. Un petit cochon d’inde un peu frêle dont maman me disait qu’il ne vivrait plus très longtemps après une semaine à la maison. Alors j’ai passé cette fameuse nuit avec lui. J’avais pris une seringue et l’avait remplie d’eau pour pouvoir lui donner de l’eau mélangée au médicament que le vétérinaire nous avait donné pour le soigner. C’est de cette manière que j’avais veillé, minute après minute, heure après heure, cette petite bête pour qui j’éprouvais déjà beaucoup d’affection. Du haut de mes 12 ans ma mère ne s’attendait pas à un tel élan de ma part. Il est vrai que je n’avais pas montré le moindre intérêt pour la vie de quelqu’un ni même d’un animal. Mais les petites moustaches de l’animal m’avait totalement fait fondre alors que je l’avais regardé se faire manipuler par le vétérinaire sur cette table froide dans cette pièce puant le chien mouillé et le désinfectant.
La nuit avait été longue, je m’étais installé un campement de fortune à côté de la cage, la tête appuyée contre un mur, j’avais positionné l’habitat de l’animal au coin du feu pour qu’il n’ait pas froid. Je m’étais enveloppée d’une couverture polaire et avait mis quelques coussins sur le sol pour somnoler quelques secondes avant de recommencer à veiller et hydrater le petit animal. Ce n’est qu’à l’arrivée de mon père que je relâchais ma garde, il s’assit en tailleur près de moi et m’aida un instant. « Tu t’en occupes très bien Sky. » Avait-il commencé en murmurant et en caressant la bête que je tenais entre mes mains. « Mais il a très mal et s’il s’en va au ciel il n’aura plus du tout mal. » Terminait-il en me serrant contre lui. Mes yeux commençaient à me piquer, j’avais une boule dans la gorge et d’un seul coup j’éclatais en sanglot. De grosses larmes roulaient sur mes joues tandis que je posais le cochon d’inde sur les coussins devant moi. « Je ne veux pas qu’il meurt. » Réussis-je à articuler en me collant contre mon père. Il m’embrassait l’arrière de la tête en continuant de me serrer. Nous regardions tous les deux l’animal qui peinait à respirer. Je le savais bien que c’était cruel de le maintenir en vie si longtemps mais je voulais tout faire pour le sauver, qu’il se sente mieux. « Il faut parfois accepter de laisser partir ceux qu’on aime, ma puce, parfois c’est le mieux à faire quand quelqu’un est très mal. Il sait que tu l’aimes beaucoup et je suis sûr qu’il sait aussi que tu as tout fait pour lui. Mais il faut le laisser partir au ciel maintenant. » Avait-il alors dit tout en murmurant pour se faire rassurant. Cela n’avait peut-être l’air de rien à l’époque, la mort du cochon d’inde d’une petite fille. Mais c’était la première fois qu’un être proche de moi mourrait, ma première expérience avec la mort.

C’est donc ces phrases, ces mots que je retenais, qui tournaient encore et encore dans ma tête tandis que, alors que je venais de fêter mes 20 ans, que mes parents avaient eu un accident de voiture. Que je me tenais devant cette porte d’une chambre d’hôpital, je ne pensais plus, je n’étais qu’une douleur intense qui me brûlait intérieurement. Comme la flamme d’une bougie qui la consume lentement sans lui laisser la moindre chance. Je me sentais comme la cire coulant doucement. La douleur atteint d’abord la tête, faisant rugir mon cerveau sans que je ne puisse faire aucuns mouvements sans pouvoir retenir mes larmes alors que j’aimerais les faire taire en levant mes mains mais elles sont paralysées. J’ai aussi envie de courir mais c’est déjà trop tard, la douleur est déjà descendue dans chaque partie de mon corps, me tenant droite et immobile face à ces deux médecins qui m’annoncent que mon père est décédé lors de l’opération qui aurait dû le sauver et que ma mère, bien que maintenue en vie par des machines qui l’empêche de rendre son dernier souffle, est également dans l’état d’une mort cérébrale dont elle ne pourra pas échapper. Mon petit frère ? Il était mort dans l’accident. Comme toujours il avait réussi à détacher ses ceintures qui le maintenaient fermement contre son siège, comme toujours il avait certainement joué à l’arrière en essayant de rattraper un de ses jouets tombés sur le sol. Il n’avait pas survécu en passant à travers le pare-brise lorsque la voiture avait heurté un camion roulant en sens inverse sur l’autoroute. Mon père avait été retrouvé conscient sur les lieux de l’accident et ma mère était simplement inconsciente mais avec de graves lésions au cerveau. Et j’avais écouté tous les discours des médecins avec une main compatissante sur mon épaule. Une main que j’ai serrée autant que je le pouvais alors que je me répétais en boucle que j’allais devoir prendre la décision la plus dure et déchirante de toute ma vie. Je n’avais plus mes grands-parents, je n’avais pas de famille dans la région, je n’en avais d’ailleurs jamais entendu parler si une cousine ou autre personne s’était présentée à notre porte. Il n’y avait que des amis, beaucoup d’amis, d’autres plus proches d’autres mais pas de famille. Il n’y avait qu’Edwin. Edwin qui allait devoir m’aider parce que j’étais incapable de bouger. « Sky … Il faut que tu lui dises au revoir … » Me dit-il en me poussant vers la chambre. J’étais tétanisée. Je me laissais guide tant bien que mal vers cette pièce où je redoutais d’entrer. Je mourrais de peur chaque pas de plus qui me rapprochait de ma mère, de ces machines … Je ne voulais pas prendre cette décision …
« Mademoiselle Morgan … Nous allons commencer. » Me dit l’infirmière en essayant de m’adresser un sourire compatissant. C’était moi qui donnais la mort à ma mère, c’était moi qui disais à ces médecins de la débrancher. Je sais qu’elle n’aurait pas aimé ça et c’était d’ailleurs mentionner dans son dossier, elle n’aurait pas voulu vivre rattachée à des machines qui lui donnent encore la possibilité de respirer. Elle ne pensait plus, elle ne bougeait plus, elle gardait les yeux fermés. Voici la dernière image que j’aurais de ma mère pour le restant de ma vie. Ce déchirement dans ma poitrine tandis que j’éclatais en sanglot en me jetant au cou de ma mère tandis que les larmes ne cessaient plus de couler le long de mes joues. Edwin posa une main dans mon dos, il était là, il était toujours là. « Maman je t’en supplie réveille-toi … S’il te plait … » Articulais-je dans mes sanglots. Mais alors qu’elle ne répondait pas je reprenais mes pleurs encore plus forts. « Ne me laisse pas toute seule, s’il te plait … » Murmurais-je encore en m’accrochant plus fort à elle tandis que le bip incessant des machines changea un instant avant de s’éteindre définitivement.

« Mademoiselle Morgan, dans le testament de votre mère vous hérité de tout ce qu’elle a pu posséder. Votre jeune frère étant également décédé, vous obtenez sa partie également. » Enonça le notaire, quelques jours plus tard après la mort de mes parents. Edwin m’attendait à l’extérieur, n’étant pas de la famille il ne pouvait entrer dans la pièce avec moi. « D’accord. » Prononçais-je à la manière d’un robot énonçant un texte appris par cœur. « Votre mère avait également écrit une lettre à votre intention. A ne remettre que si elle venait à disparaitre, elle et votre père, David. » Continuait-il alors que ma curiosité quant à cette lettre s’éveillait lentement. Une lettre pour moi ? De maman qui plus est,  l’une des personnes qui m’étaient si chère. Je redressais doucement la tête pour pouvoir me saisir de l’enveloppe que me tendait le notaire. Je la saisie du bout des doigts aussi fermement que le pouvais, craignant que cette lettre ne soit aussi légère qu’une plume et ne s’envole comme tant de choses dernièrement. Je m’accrochais le plus possible à tout ce qui était réel, aux choses qui me retenaient encore ici-bas.

Ma douce petite fille,

Si tu lis cette lettre aujourd’hui c’est que ni David, ni moi ne sommes encore en vie. Je t’en prie ma chérie, ne pleure pas même si cela est plus facile à dire alors que tu dois ressentir une douleur horrible. Tu es une belle et forte jeune femme, quoi qu’il arrive ne doute jamais de toi, ne doute jamais de l’amour que nous t’avons porté, que ce soit ton père ou moi.
J’ai ouvert un compte au nom de ton frère et toi si cette situation venait à arriver. Il y a de quoi vous aider pendant un moment mais, ma chérie je m’en excuse d’avance, ce ne sera pas assez. J’aurais aimé faire tout mon possible pour vous deux mais à présent je vais veiller sur vous de là-haut.

Je t’aime ma puce, je t’aime de tout mon cœur et de toute mes forces et peu importe ce qu’il peut arriver, je t’en supplie ma chérie, ne doute jamais de cet amour. Car à présent il faut que je te dise quelque chose que je n’aurais jamais voulu te dire.

Quelques mois avant ta naissance, un homme m’avait demandé en mariage. A l’époque, je ne savais toujours pas que tu allais arriver, que tu t’étais déjà faite une place dans mon ventre. Cet homme est parti prendre un avion qui l’a amené à la guerre. Et il n’en est jamais revenu. Sur cette longue année qui a suivi ce départ soudain, je me suis retrouvée seule avec toi. Un autre homme est alors apparu dans ma vie. Au début il n’était qu’un ami, je croyais encore au retour de cet autre homme parti à la guerre. Mais avec le temps, les relations changent. Alors je suis tombée amoureuse de cet homme et nous nous sommes mariés. Tu avais deux ans à l’époque, ma chérie, tu ne dois pas vraiment te souvenir de tout ça. Ton petit frère est ensuite arrivé et, un soir, alors que nous allions nous balader dans la forêt à côté de la maison, j’ai revu l’homme qui était parti au front. Il n’est pas venu nous parlé, il n’est pas venu près de nous tout court. Cela a duré quelques secondes et il est partit. Ce jour-là j’avais eu très peur, j’avais peur qu’il ne découvre que tu étais là, que tu étais si belle et si grande. J’ai eu peur qu’il ne t’emmène avec lui car, ma chérie je t’en prie ne m’en veut pas, cet homme est ton véritable père. J’avais peur qu’il ne demande à te garder auprès de lui, de demander une garde alternée ou je ne sais quoi d’autre encore. Je voulais vous garder tous les deux, David t’avait aussi adopté, voilà pourquoi tu portes son nom, celui des Morgan. J’avais aussi peur de te parler de lui car j’avais peur que tu ais envie de le voir. Je n’avais plus envie de le revoir, pour ma part, voilà pourquoi je ne t’en ai jamais parlé. Mais aujourd’hui et que je ne suis plus là, tu es en droit de savoir qui est ton véritable père. Son nom est Raphaël Grimes, je ne sais pas où il habite ni s’il est encore sur le champ de bataille ou non. Ma puce, ma Sky, ne m’en veut pas de t’en avoir jamais parlé.

Je t’aime de tout mon cœur et lorsque tu regarderas les étoiles sache que je te regarderais aussi, chaque soir, chaque nuit, chaque jour jusqu’à ce que tu sois assez vieille et aigrie pour venir nous rejoindre.

Je vous aime tendrement tous les deux,
Ta maman qui est désolée pour tout.

Assise dans le canapé, j’avais écouté Edwin me lire la lettre et de nouvelles larmes coulaient sur mes joues. Ainsi j’avais vécu dans le secret depuis ma plus tendre enfance. Mais au contraire de ce que ma mère pourrait penser, je ne lui en voulais pas. Je pouvais comprendre cette démarche que l’on peut penser malsaine mais moi je comprenais. Mary était ma mère et jamais, au grand jamais je ne pourrais penser mal d’elle. « Sky ? » Edwin me sortit de ma léthargie, me faisant presque sursauter lorsqu’il prit place à côté de moi sur le canapé. « Tu veux en parler ? » Demandait-il avec une inquiétude qui ne lui ressemblait pas. « Alors papa n’est pas mon vrai père … » Réussis-je à dire en redressant la tête vers lui tout en séchant les larmes avec les manches de mon pull. « Tu veux le chercher ? » Demandait-il alors qu’il m’attirait contre lui. Je me laissais aller à cette étreinte tout en réfléchissant à ma réponse, avais-je envie de connaitre cet homme ? Ce Raphael ? Je n’en savais rien du tout à ce moment-là et pourtant j’ai répondu : « Oui, j’ai envie de le connaitre. » Alors Edwin ma serrer plus fort encore un moment et nous nous sommes tous les deux endormis.

La semaine qui suivait, la maison était mise en vente et notre long voyage commença. A travers le pays, mon meilleur ami et moi avec nos valises dans le coffre de ma voiture. Malgré la tristesse que j’éprouvais quant à la mort de mes parents j’éprouvais une nouvelle joie à savoir que j’avais un autre membre de la famille quelque part. Un an. Il nous a fallu un an avant de retrouver une véritable trace de cet homme. Un an, une longue année de rigolade, d’enchainement de petits boulots mais surtout d’une sorte d’amour avec Edwin, nous n’étions plus de simples amis mais pas non plus de véritables amours. Une amitié améliorée en quelque sorte, pendant une longue année … Avant d’arriver à Los Angeles.