❖ DEMANDE DE PARTENARIAT

L'herbe est toujours plus verte dans le jardin d'à côté. Attention au malotru qui viendrait piétiner sauvagement mes pétunias. A Wisteria Lane la vie semble paisible. Un décor idyllique, des couleurs flamboyantes. Des enfants qui font du vélo. Des ados qui s'embrassent devant la boite aux lettres. Idéal pour les célibataires, pour les couples, pour tout le monde. Il règne une ambiance particulière que l'on ne peut retrouver ailleurs. Un sourire, une tarte aux pommes faite maison mettront du baume au cœur. Les langues de vipères vous rabaisseront. A Fairview tout n'est qu'apparences. Il faut être le meilleur, en tout. Une tâche sur le tablier, peut vous couter cher. Connaissez vous vraiment votre voisin ? Il parait que M. Haustin a tué sa femme avec une hache, que Mrs Sanders couche avec le livreur de journaux. Ouvrez vos yeux et vos oreilles. Bienvenue à la maison, et ne marche pas sur la pelouse, à moins que tu n'aies pas peur des représailles.

Fondée par Edward Sibley , ancien contrebandier coureur de jupons et voleur de chevaux, la ville de Fairview a fait bien du chemin depuis . Situé dans l'état de Eagle State dans l'Ouest des Etat-Unis , avoisinant d'autres grandes villes tel que Greendale ,Lakeview ou encore Riverton, Fairview est à présent reconnu comme l'une des banlieue les plus chic , à l'image même des plus prisé d’Amérique. Son quartier résidentiel du nom de Wisteria Lane, caractérise aux mieux ce stéréotype : des demeures immenses et luxueuses, bordée par un jardin toujours vert et fermer d' une jolie clôture blanche. Ceux qui y résident, sont généralement d'avocats de grands cabinets, des médecins renommés, des hommes du bureaux, des écrivains de best-seller ou bien des personnalités..Mais aussi leurs femmes, des épouses modèles qui en leurs absences s'occupent des taches ménagères tout en s'abandonnant aux cancans du quartiers , jusqu'à ce que l'heure de fin sonne. Dirigée par le maire Victor Lang , on pourrait effectivement croire que Fairview est une ville comme toute les autres, et pourtant il y a quelques mois...Une femme de Wisteria Lane, épouse et mère, a mit fin a ses heureux jours , laissant la rue sans dessus dessous alors que jusqu'à présent tout à toujours été si routinière : au passage du facteur jusqu'au panier garnie de muffins d'une voisine hautement distinguée. Après ce jour, bon nombres de taches d'ombres ont commencés a naître au cœur de cette ville. Certains homicides n'ayant toujours pas été résolu, Victor Lang a finit par faire appelle à la crime de New York demandant à ce qu'une équipe intervienne à Wisteria Lane, pour une mission d'infiltration, avant que toutes ces histoires nuisent sa candidature aux élections. Adultères, secrets de familles, détournement de fonds et autres crimes , qui serait vraiment à l’abri des tourments de cette ville ?

Que feriez-vous si la fin du monde arrivait dans un an ? C'est la question qui trotte dans toutes les têtes depuis que le gouvernement Canadien a laissé fuiter l'information : un astéroïde de la taille de l'Ontario se dirige tout droit sur la Terre. La collision est inévitable et absolument personne n'y survivra. Info ou intox ? Alors que certains n'y croient pas une seconde et continuent leur train-train quotidien, d'autres sont persuadés de vivre leurs derniers instants et s'autorisent toutes les folies. Les émeutes sont devenues monnaie courante, les crédits à long terme n'ont jamais eu autant de succès, le taux de chaumage a littéralement explosé et la consommation des ménages a atteint des sommets. Les comportements ont changés, les priorités ne sont plus les mêmes, les obligations et les devoirs appartiennent dorénavant au passé. Petit à petit la folie gagne le Canada, un peu comme si l'annonce d'une mort imminente avait poussé les gens à se sentir enfin vivants.
Et vous, que feriez-vous s'il ne vous restait plus qu'un an à vivre ?

votre contexte

Le soleil se lève sur la vallée. Comme tous les matins, à Palm Springs, on peut voir le boulanger rentrer chez lui après sa nuit de travail, laisser le relais à la boulangère, la tête encore endormie et marquée par le drap du lit... L'odeur du pain et des viennoiseries chauds vient alors se disperser dans la rue principale de la ville. Les autres boulangeries dans les rues voisinent ouvrent à leur tour. Les premiers vélos passent, des petits vieux sortent de chez eux, chercher leur journal, les livreurs quittent peu à peu la ville qui commence à s'animer sous cette douce chaleur californienne. Les bus scolaires commencent à apparaître sur les routes et se remplir petit à petit. Chacun vaque à ses occupations. Comme si de rien n'était. Reproduisant machinalement, quotidiennement, un train-train qui s'était imposé dans leur vie.

En quelques années, Palm Springs est revue une de ces petites villes où il fait bon d'y vivre que lorsque l'on n’a rien à cacher. Ici on y vit loin de la pollution, du stress et de l'agitation de Los Angeles ou de tout autres grandes villes. Cependant ce petit paradis voit sa vie bouleverser le jour où le corps d'une jeune fille disparut 6 ans plus tôt, est retrouvé. Après cette tragique découverte, les anciens habitants, comme les nouveaux vont devoir redoublé d’effort pour cacher leurs vilains petits secrets, qui pourraient peut-être les faire tomber, où encore pire les lier de près ou de loin au meurtre qui a eu lieu.

Mais les choses changent vite en ville, voilà un an que le corps à était retrouver et même si le meurtrier n'a pas été arrêté, la plupart des habitants on mit cette histoire de côté, pour vagué à leurs occupations quotidiennes, mais encore une fois la tranquillité de la ville va être chambouler, les autorités de la ville viennent de découvrir le cadavre d'une jeune femme de 25 ans, assassiné dans sa villa. Et si ces deux meurtres n'étaient que les premiers d'une longue série?

Esther Stanford était la femme de l’un des deux évadés d’Azkaban les plus recherchés. La baguette callée dans sa botte de cuir flambant neuf, l’auror prenait une à une les enveloppes qui étaient entreposées sur son bureau et les mettait à la corbeille sans même se pencher sur celles-ci. La haine se lisait à travers ses yeux. « Bonjour Esther. Excuses-moi de te déranger mais… C’est l’heure. » Elle entrait dans la salle d’audience, s’installait à la chaise de l’accusé, espérant un jour y trouver un ex-mari y prendre une condamnation à vie. « MILLERS ! WEASLEY ! DEHORS ! VOUS AUSSI MONSIEUR MALEFOY ! D’AILLEURS VOUS SORTEZ TOUS ! JE NE VEUX PLUS VOUS VOIR BANDE D’INSOLENTS ! ». On pouvait entendre cette voix jusqu’au bout des cachots. Poudlard est un endroit où il fait bon de vivre, tant que l’on n’est pas enseignant, cela va de soi !