| | ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. | |
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Ellie FieldsTeam Tequila SunriseDATE D'INSCRIPTION : 07/11/2018
MESSAGES : 296
| Sujet: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Mer 07 Nov 2018, 17:11 | |
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La rose pourpre du Caire.
Elizabeth Saint-James Fields
◑ Nom Fields, nom d'épouse. Avant mon mariage, je me présentais sous le nom de Saint-James. ◑ Prénom Elizabeth comme unique prénom, je préfère toutefois que l'on me surnomme Ellie. ◑ Date et lieu de naissance Le 14 avril 1983 à Glasgow, en Écosse. ◑ Nationalité Écossaise d'origine, américaine. ◑ Orientation sexuelle Hétérosexuelle jusqu'alors. A priori, ça ne devrait pas changer. ◑ Statut civil Mariée depuis plusieurs années, maman. ◑ Profession Conservatrice du patrimoine au Musée d'Histoire Naturelle, spécialisée archives. ◑ Quartier d'habitation Santa Monica. ◑ Qualités et défauts de ton personnage digne de confiance • naïve • calme • consciencieuse • nerveuse • logique • brillante • sensible • patiente • douce • introvertie • lucide • juste • raisonnable • respectueuse • rancunière • pacifique • passionnée • romantique • émotive • susceptible. ◑ Avatar Natalie Portman. ◑ Groupe La question sinusoïdale. ◑ Crédits @tumblr.
L'hémorragie de tes désirs s'est éclipsée sous la joue bleue dérisoire
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Tics et manies et de ton personnage a toujours au moins trois livres posés sur ma table de chevet • assez casanière, il n’est pas rare que je passe mes journées à mon domicile • la famille compte plus que tout • ne bois pas de café, uniquement du thé • adore cuisiner, passe des heures dans la cuisine pour mijoter des petits plats pour ses proches • très protectrice envers ses proches • ancienne carriériste, elle s’est calmée à sa première grossesse • n’a jamais fumé, et ne bois qu’occasionnellement • pourrait paraître très fade pour certains, mais elle a toutefois beaucoup d’humour et arrive à mettre l’ambiance lors des repas de famille • évite au maximum de manger de la viande • maniaque du rangement, sa maison est toujours impeccable. Le petit cocon de ton personnage Une charmante maison rénovée par mon mari et moi-même quand nous avons emménagés ensemble, située dans un quartier calme, reculé de la ville. Nous avons même un beau jardin où il est possible de profiter d’un bon barbecue avec des amis durant l’été. L’intérieur est classique. Les murs peints de blanc, crème et marron glacé. Des meubles à l’allure scandinave. Une cuisine high-tech, des chambres à ambiance cocooning. Une maison habitant de nombreux rires, mais également pas mal de drames, mais regorgeant de souvenirs divers. Que pense t-il de la ville de Los Angeles ? Los Angeles est une belle ville, mais il est clair que je ne finirais pas ma vie ici. Mon Ecosse natale me manque énormément, ainsi que l'Angleterre où j'ai vécu plusieurs années. Cependant, c’est à Los Angeles que j’ai vécu mes plus belles années, que je me suis mariée, que j’ai fondé ma famille. Rien que pour ça, je suis particulièrement attachée à cette ville. Pourquoi avoir choisi ce groupe ? J’ai toujours été plus cérébrale. Nombreux m’ont répété que je réfléchissais beaucoup trop. J’ai toujours été calme, posée, évitant le possible le stress. Je suis énormément dans la retenue aussi, je dois dire. Mes longues années d’études m’ont apportées de nombreuses connaissances. Quand je sortais avec mes amis, adolescente, il n’était pas rare que je sois la chaperonne du groupe, celle qui conduit également. Je consomme la folie avec modération. Quel est le petit secret de ton personnage ? J’ai plusieurs fois eu envie d’en finir. D’en finir avec la vie, avec moi-même. Deux fois, pour être exacte. La première fois, c’est lors d’une violente crise d’Elliott. Je ne savais pas comment gérer, j’étais perdue. Je versais des torrents de larmes, planquée derrière la porte du sellier alors que je l’entendais crier derrière. Je me sentais mauvaise mère, incapable de tout. La deuxième fois, quand j’ai appris l’admission à l’hôpital de mon mari, et ce à durée indéterminée. Ou alors, jusqu’à ce que je décide de le débranché, lui qui est en état de mort cérébrale. J’étais au trente-sixième dessous, c’est comme si on m’annonçait que j’avais perdu ma moitié à tout jamais, j’étais dévastée. Je ne voyais plus de raison de vivre, jusqu’à ce que le sourire d'Alice me saute aux yeux. |
Du temps qui se passe contre duquel on ne peut rien...
Parce que nous sommes curieuses, forcément, nous allons te demander touuuuut un tas d'informations bien croustillantes à ton sujet. Ton prénom/pseudo Ludi, ça faisait longtemps. -ou pas- Ton petit âge 24 ans. Ce que tu fais dans la vie à part tuer des gens J'hiberne, fait trop froid dehors. Personnage inventé ou scénario Inventé. Où as-tu connu le forum? Ça fait un petit moment que j'y suis. Un dernier petit mot ? Love you.
Être ou ne pas être, telle est la question sinusoïdale de l'anachorète hypochondriaque - Code:
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[url=http://vice-et-versa.forumactif.org/t4287-ellie-fields-couleur-menthe-a-l-eau][color=red]◑[/color][/url] <span class="titlecat1">Natalie Portman</span> - Ellie Fields [b]Ellie Fields : [/b][i]Santa Monica[/i] [b]Ellie Fields : [/b] [i]Conservatrice du patrimoine au Musée d'Histoire Naturelle[/i]
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| | | Ellie FieldsTeam Tequila SunriseDATE D'INSCRIPTION : 07/11/2018
MESSAGES : 296
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Mer 07 Nov 2018, 17:11 | |
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« J'aime ces moments de calme avant la tempête. »
❀ Je tournais lentement les pages de l'album remplis de photos, tout en caressant tendrement les cheveux de mon fils, sa tête posée sur mon épaule. Il était dans l’un de ses jours de curiosité. Il voulait en savoir plus sur moi, sur son père, sur nous. Sur notre commencement, jusqu’à maintenant. Des photos de moi bébé, enfant, adolescente… Les souvenirs remontaient doucement.
❀ J’avais eu une enfance plutôt basique. Un foyer composé de cinq personnes. Mon père, ma mère, mon grand frère et ma petite sœur. J’étais l’enfant du milieu. Je n’ai jamais eu vraiment de problème avec cela. Je n’étais pas le chasse-neige qui ouvrait toutes les portes comme mon grand-frère, je n’étais pas non plus la plus bichonnée comme ma petite sœur qui était obligée de rester vivre chez mes parents jusqu’à sa mort à entendre les dires de ma mère. J’étais la plus effacée, mais ça ne me dérangeait pas plus que cela. J’étais discrète, disons. Pas trop de vague durant mes années scolaires, toujours de très bons résultats. J’ai même été élue déléguée de classe à maintes reprises. Je n’étais pas une de ces élèves populaires, pour tout avouer. Je passais le plus clair de mon temps à la bibliothèque, les yeux rivés sur un bon bouquin ou alors à bûcher comme une abeille ouvrière. Mais je savais que ce n’était qu’une passade et que ma vie serait après. En y réfléchissant, j’ai cette légère sensation d’avoir gâché mes années d’enfant. A cet âge où tout était permis, où il fallait faire des bêtises plus grosses que nous, même s’il fallait vivre la fureur des parents derrière. J’étais beaucoup trop sage, trop tranquille.
Mes bonnes notes me menèrent jusqu’à Londres, afin d’entrer à l’université d’Oxford dans le cursus lettres classiques. J’avais bien visé l’université de Cambridge, qui était mon premier choix. Mais soit, je me retrouvais dans la ville de Londres pour faire mes études, loin de ma famille. Ça n’avait pas été simple pour moi, qui apporté un grand attachement aux relations familiales, ainsi je les appelais tous les soirs durant le premier mois, pour finalement lâché la bride les mois suivants. Durant ces années universitaires, je n’ai pas connu grand nombre de garçons, étant assez réservée et pudique. J’en attirais certains, mais généralement c’était à sens unique. Je me concentrais plutôt sur mes études, mes parents s’étant saignés pour m’inscrire dans cette école, il fallait que je sois au sommet. Sauf que je n’étais pas totalement aveugle. Il y avait bien lui, le garçon aux cheveux ébène, au regard perçant. Un homme intelligent qui ne me laissait pas totalement de marbre. Selon mes amies, je lui plaisais également. Mais je restais rivée sur mon objectif : réussir mes études. Je ne me laissais pas distraire, jusqu’à ce qu’il m’invite au bal d’hiver. Ce fut le commencement de tout, bien que ça annonçait de nombreux soucis également. Il fallait que je partage mon temps entre les révisions et lui.
❀ « C’est papa sur la photo, là ? » me questionnait mon fils, alors que j’acquiesçais d’un signe de la tête, accompagné d’un délicat sourire. « Oui, c’est bien lui. » Derek, cet homme que j’avais rencontré à mes dix-huit ans. Le bel âge, la majorité. Je tournais à nouveau les pages, découvrant de nombreuses photos de mon mari et moi-même, me ramenant dans mes souvenirs, nostalgique.
❀ Les examens étaient tous passés. Tout le monde semblait confiant, sauf moi. Ou alors, je partais dans une crise de paranoïa. Je stressais de venir voir les résultats. Et si, je ne l’avais pas ? Si je n’avais pas obtenu mon diplôme ? Derek m’encourageait. Il avait toujours eu confiance en moi, en mes capacités. Il semblait décontracté, sans grande nervosité. C’est en arrivant à l’heure pour connaitre les résultats que Derek recherchait mon nom avant même le sien. Rien que pour ça, je le trouvais parfait. Il pouvait douter de ses propres résultats, mais me faisait passer avant en chaque circonstance. « Tu l’as ! » m’annonçait-il en m’attrapant par les épaules, me provoquant un arrêt cardiaque de quelques secondes, le temps que je réalise ce qu’il venait réellement de me dire. « Non, t’es sérieux ? » demandais-je avant qu’il me prenne dans ses bras, me faisant tournoyer, riant aux éclats. Bien sûr, il l’avait aussi. Il était un jeune homme aux multiples talents, et excellait alors dans son domaine. Ainsi, nous allions pouvoir profiter de quelques jours de repos avant d’entamer la suite. Pour ma part, je continuerais avec quelques années d’études supplémentaires, jusqu’à obtenir un master. Cependant, je me spécialiserais plus vers l’histoire et l’archéologie, un domaine me passionnant depuis ma plus tendre enfance.
Nous avions fini par déménager à Los Angeles avec Derek. Nous souhaitions un nouvel air, de nouvelles opportunités, une nouvelle vie. Une vie d’adultes. Derek avait un emploi qui l’attendait dans la cité des anges. Moi, il fallait que je trouve un nouvel emploi, après avoir quitté mon travail de traductrice de langues classiques qui me plaisait énormément à Londres. Nous nous retrouvions d’abord dans un petit appartement à Downtown. Il était certain qu’il était impossible d’accueillir ma famille chez nous. Mais c’était notre petit nid douillet, notre cocon. Ce soir, c’était soirée plateau devant un film de Noël. Nous avions installé le sapin, orné de multiples boules de couleur et guirlandes lumineuses. Il ne manquait plus que la neige derrière les fenêtres et une cheminée faisant crépiter du bois pour que le cadre soit parfait. C’est ce soir-là, qu’il a fait sa demande. Une demande en mariage simple, sans artifice. Une demande comme j’en avais toujours rêvé. C’est avec un énorme « OUI ! » que j’acceptais, évidemment, sa demande. Cela faisait six ans que l’on se connaissait, une demi-année que nous vivions ensemble. Il était le bon. Il était une évidence.
❀ « Tu l’as toujours ta robe de mariée ? » me demandait mon fils, me regardant du coin de l’œil. « Bien sûr, elle est bien rangée dans ma penderie. Je ne suis pas sûre d’encore rentrer dedans par contre. » répondais-je en riant, pensant au poids que j’avais pris avec mes deux grossesses. Ceci dit, j’avais été bien épargnée, ayant perdu la quasi-totalité à chaque fois. Les photos du mariage me rappelaient une journée de fête, de rires, de souvenirs gravés à jamais dans ma mémoire. Une journée parfaite, avec un mari parfait et des invités tout aussi parfaits.
❀ J’avais finalement trouvé du travail à Los Angeles. J’étais devenue conservatrice de patrimoine au Musée d’Histoire Naturelle de la ville, spécialisée dans les archives, qui était mon domaine de compétences particulièrement. J’avais postulé sans trop de conviction, me voyant plutôt proposé le poste d’hôtesse d’accueil. Cependant, mes études et mes aptitudes m’avaient permis d’acquérir ce prestigieux poste. Avec Derek, nous avions alors une bonne situation. Un appartement à Downtown, un travail stable chacun, une relation forte qui dure. Il ne nous manquait plus qu’une chose : un enfant. Nous avons essayé maintes et maintes fois, mais rien n’y faisait. Une avalanche de tests de grossesses négatifs. Aucun de positif. Forcément, nous avons entamé des tests de stérilité. Les résultats sont tombés. Derek était stérile. Un abattement pour lui. Là, c’était à moi de le soutenir, lui promettant de trouver une solution, que c’était toujours possible avec d’autres moyens. Après des semaines, des mois, de réflexion, nous avons finalement choisi la fécondation in-vitro dirigée. Nous étions bien renseignés, environ 20% de succès par tentative. Il ne fallait pas craquer si la première tentative s’avérait être un échec. Nous retenterons. Le jour arrivé, nous étions aussi stressés qu’impatients.
Et c’est alors que nous avons eu Elliott, notre adorable fils. Un rayon de soleil, une bouffée d’air frais, de l’animation dans l’appartement qui semblait se rétrécir à nouveau. Elliott était notre trésor, un cadeau inespéré. La réunion de nos deux êtres en un. C’est un peu avant ses trois ans que le médecin de la famille donnait le diagnostic de l’autisme, confirmé par des spécialistes ensuite. Nous avions bien remarqué quelques difficultés au niveau des interactions sociales, quelques comportements anormaux de la part d’Elliott, mais sans vraiment en arriver à déduire cela. Une attention particulière était de mise, de l’aide d’une tierce personne également. Il n’était pas toujours facile à gérer, principalement durant ses crises. Imaginez quand on a déménagé pour aller à Santa Monica, pour ma seconde grossesse, faite de la même façon que la première, sept ans plus tard. On le savait, Elliott n’aimait pas le changement, mais nous n’avions pas le choix. L’appartement de Downtown était devenu beaucoup trop petit pour trois, et c’était inenvisageable d’y élever la petite dernière. Elliott n’accueillait pas avec un grand sourire cette nouvelle. Il devrait s’y faire.
❀ J’observais Elliott regarder les photos d’un air toujours autant dégoûté. « Ne va pas me dire que tu n’aimes pas ta petite sœur. » Il ne semblait pas convaincu. Certainement qu’elle hurlait trop, qu’elle l’avait trop dérangé dans ses habitudes depuis deux ans déjà. Il faut dire qu’elle était beaucoup plus agitée que lui, c’était certain. Mais à vrai dire, elle était beaucoup plus facile que lui à gérer. Puis les photos se raréfiaient...
❀ « Madame Fields, nous sommes au regret de vous apprendre que votre mari est dans un état de coma de stade quatre. C’est-à-dire qu’il n’y a ni de réponse verbale, ni de réponse motrice. Nous ne sommes pas en mesure de vous dire s’il sortira de son coma un jour. » Mort cérébrale. Des mots meurtriers. Je m’affalais dans le couloir froid de l’hôpital, hurlant, pleurant comme je n’avais jamais pleuré. A cet instant-là, j’avais l’impression que toute ma vie s’effondrait. Je suis restée là, par terre, inconsolable pendant plusieurs dizaines de minutes, si ce n’est des centaines. Mes enfants étaient chez Liam et Olivia. Comment allais-je leur annoncer cela ? A mes Elliott et Alice, comme à Liam et Olivia ? Impossible. Je ne voulais pas y aller, je ne pouvais pas y aller. Alors que je tentais de me mettre debout, mes jambes tremblaient tellement j’étais faible. Je n’avais plus aucune énergie. Plus rien.
Plusieurs mois s’étaient passés depuis l’accident. Derek était toujours dans le coma, maintenu en vie à l’hôpital. J’élevais mes enfants, dans l’absence d’un père. Alice ne s’en rendait pas encore totalement compte, elle était trop petite. Elliott, lui, le vivait plutôt mal. C’était à nouveau un changement dans sa vie. D’autant plus qu’avec lui, c’était devenu très dur ces dernières années, tellement que j’allais à des thérapies de groupe pour parents d’enfants autistes. Ça m’aidait, c’était surtout un moyen de parler de l’autisme avec des gens qui vivaient la même chose que moi au quotidien. Avant, Derek m’épaulait et faisait son maximum de son côté également. Quand nous repensions à toutes les journées de congés prises pour Elliott en motif, ça pouvait en effrayer plus d’un tellement le nombre était élevé. Désormais, j’avais fait appel à de l’aide d’une tierce personne. J’avais un baby-sitter qualifié, que ce soit pour les personnes en bas âge comme ma fille, ou bien pour les personnes atteintes du trouble du neurodéveloppement comme mon fils. Il arrive également que cette personne reste tard le soir, juste pour m’aider avec les enfants mais également personnellement.
❀ « On ne fait plus beaucoup de photos depuis que papa dort à l'hôpital. » dénonçait Elliott en fermant d’un geste ferme l’album photos. Il dort… « Tu as raison. Prépare-toi à être le plus beau prochainement, on en fera. Promis. » annonçais-je en approchant mon petit doigt de mon fils pour qu’il le croise avec le sien, formant une promesse ne pouvant pas être détruite. « Allez, au dodo. » déclarais-je en me retirant du lit, tandis qu’Elliott plongeait sous sa couverture. Le bordant, j’apposais ensuite mes lèvres contre son front. « Bonne nuit mon trésor, fais de beaux rêves. »
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| | | Lou MorlandTeam GrenadineDATE D'INSCRIPTION : 16/08/2015
MESSAGES : 6312
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Mer 07 Nov 2018, 19:21 | |
| Ooooh la faiblesse Rebienvenue chez toi |
| | | Olivia P. ScottTeam MargaritaDATE D'INSCRIPTION : 01/10/2018
MESSAGES : 709
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Mer 07 Nov 2018, 19:42 | |
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| | | Ellie FieldsTeam Tequila SunriseDATE D'INSCRIPTION : 07/11/2018
MESSAGES : 296
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Jeu 08 Nov 2018, 01:38 | |
| @Lou Morland ▬ Je suis faible, c'est bien connu. Faut dire que ce perso me trottait dans la tête depuis de nombreux mois. & merci ma douce. @Olivia P. Scott ▬ Prépare-toi pour les repas de famille ! Bon, elle m'a tellement inspirée qu'il semblerait que j'ai déjà fini. |
| | | Oliver J. SterlingTeam Tequila SunriseDATE D'INSCRIPTION : 15/11/2017
MESSAGES : 839
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Jeu 08 Nov 2018, 08:30 | |
| My god Natalie Portman quoii, l'une des femmes de ma vie, i'm in looove, ce choix est si parfait T'es à la maison. Je te lirais en rentrant je pense mais déjà je vois qu'elle est écossaise, j'aime bien |
| | | Siobhan O'SullivanTeam GrenadineDATE D'INSCRIPTION : 07/03/2018
MESSAGES : 2525
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Jeu 08 Nov 2018, 08:33 | |
| hoooo my goshhhhhhh tu va me briser le coeur bon, tu sais que tu peux compter sur Roxane pour t'épauler si besoin, elle est à Santa Monica tout ca tout ca. |
| | | Matthew McGregorTeam MojitoDATE D'INSCRIPTION : 13/03/2016
MESSAGES : 5257
| | | | Peter H. GrimesTeam GrenadineDATE D'INSCRIPTION : 05/07/2018
MESSAGES : 314
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Jeu 08 Nov 2018, 14:11 | |
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| | | Ellie FieldsTeam Tequila SunriseDATE D'INSCRIPTION : 07/11/2018
MESSAGES : 296
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Jeu 08 Nov 2018, 16:11 | |
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| | | Siobhan O'SullivanTeam GrenadineDATE D'INSCRIPTION : 07/03/2018
MESSAGES : 2525
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Jeu 08 Nov 2018, 16:12 | |
| Il est trop triste ton perso! Enfin son histoire, son vécu! |
| | | Ellie FieldsTeam Tequila SunriseDATE D'INSCRIPTION : 07/11/2018
MESSAGES : 296
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Jeu 08 Nov 2018, 17:31 | |
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| | | Héloïse BennettTeam GrenadineDATE D'INSCRIPTION : 12/03/2016
MESSAGES : 6123
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Jeu 08 Nov 2018, 21:26 | |
| Cette histoire, elle est parfaite Je te valiiiiide |
| | | Cassiopée DesnuitsTeam GrenadineDATE D'INSCRIPTION : 18/05/2018
MESSAGES : 820
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. Sam 17 Nov 2018, 16:33 | |
| Bienvenue Bellissima |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: ELLIE FIELDS ❅ couleur menthe à l'eau. | |
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