Kang Sora ❌ I need a tough lover

Tics et manies et de ton personnage
C'est une femme très ambitieuse, ou plutôt qui croit en la réalisation de tout ce qu'elle souhaite, si elle s'en donne entièrement les moyens. Un état d'esprit qui ne la quitte jamais, "réussir" et devenir celle qu'elle a toujours voulu être • On la surnomme "Kang fatale" • C'est un de ses ex qui l'a initié à la boxe, et maintenant, elle fait du taekwondo depuis trois ans • En apparence, les personnes se méprennent souvent, et la pense aussi froide que la glace en hiver. Elle est en réalité très chaleureuse et plus abordable qu'on ne pourrait le penser • Il paraît qu'elle fait peur aux hommes... C'était plutôt aux coréens, il faut dire qu'elle est loin d'être mignonne et docile, à l'image de leur idéal féminin. • Elle a fait un stage de plusieurs mois chez Vogue korea dans la section stylisme, et ce n'était pas de tout repos • Quand elle est partie faire ses études en Corée, elle s'est rendue compte qu'elle était loin des critères féminins asiatiques : la peau plus mate que la moyenne, un corps pulpeux et une personnalité un brin dominante, qu'elle n'a jamais eu la moindre envie de renier • Elle parle couramment anglais, coréen et a de bonnes notions en japonais • Elle est plus romantique qu'il n'y paraît, même si les mille roses envoyées au boulot ne lui feront pas grand chose • Elle change de personnalité quand les effluves d'alcool s'imprègnent abondamment de son corps : enfantine, boudeuse, tactile, et des envies de danser sur n'importe quel vieux titre des années 80. Mythique, préparez les téléphones ! D'ailleurs, si vous lui mettez la chanson si célèbre de Pulp fiction "You never can tell", elle ne répond plus de rien... • Son accent ricain faisait froncer les sourcils sombres des séouliens, et le dialecte ramené de là-bas esquisse des sourires en coin aux habitants de la tant admirée "ville des anges". Foutez-moi la paix avec mon accent ! • Elle a eu une période garçon manqué dans son adolescence et ce n'était pas beau à voir • Sora, si il faut frapper, elle frappera. Alors, ne vous avisez pas de lui mettre la main au cul, où vous vous retrouverez le visage plaqué au sol et son talon planté profondément au creux de vos reins. • Apparemment, elle ne serait pas bonne à marier. La raison ? Est une piètre cuisinière, le four et la plaque de cuisson la détestent. Seul le micro-onde semble demeurer son allié, heureusement sinon qu'est-ce qu'elle mangerait ?! Dure réalité pour certains, pas pour elle. Il lui faut un homme qui cuisine, c'est tout, problème réglé. • Elle a un faible pour les tartelettes aux fraises de Matteo, son péché mignon. C'est d'ailleurs son ex, et sa dernière véritable relation amoureuse. • Elle est indépendante Sora, trop indépendante même pour ses amants qui aimeraient se faire une place près de son coeur. C'est une femme qui aime l'amour, le vivre, le ressentir, le partager... Mais ne supporterait pas en être étouffée. Liberté, un besoin constant d'une bulle personnelle, de moments rien qu'à elle. Un endroit lui appartenant, la solitude pour se retrouver. Loin d'être une femme à manipuler, à vouloir dompter. Une nature sauvage qu'il ne faut pas oublier. Ce besoin constant d'indépendance lui a fait perdre nombre de relations qui auraient pu peut-être aboutir à un joli avenir. • On lui a dit une fois qu'elle était un homme enfermé dans un corps de femme, juste parce qu'elle "aurait des couilles" comme on dit. Charmant. Quel cliché, vraiment. • Elle est littéralement amoureuse des films "Burlesque" et "Chicago", alors quand elle a appris qu'elle avait participé à une comédie musicale dans le même style, elle n'avait pas pu s'empêcher de crier ! • Elle reconnaît avoir un faible pour les grands standards du jazz, les crooners qui savent swinguer. Années 20 jusqu'aux années 50, c'était la période classe, plein d'élégance, qui la berce et la fait rêver. • Quand elle a le cafard, elle met un CD de Louis Prima et tout son être s'éclaire • Elle voue un culte à la célèbre actrice Cyd Charisse, quelle danseuse, quelle prestance ! • Les araignées lui font perdre tout son courage... • Son père est un romancier reconnu et sa mère, une antiquaire spécialisée dans le luxe, pleine de ressources, au carnet d'adresse bien rempli • Elle a tendance à toujours vouloir se débrouiller seule, et à ne pas demander d'aide quelconque. Une pointe de fierté ridicule, ou juste cette idée de ne pas déranger inutilement. • Entièrement plongée dans son travail, elle ne donne pas toujours des nouvelles régulières à son entourage mais comme dit le dicton, au moindre soucis, elle sera la première devant votre porte. Un brin distante, mais dévouée et loyale notre Sora. • Loin d'être coincée, elle ne sera pas la dernière pour faire la fête ! Sauf si son emploi du temps est restreint, faudra calmer les ardeurs là, grosse répétition demain... Une fois lors d'un lendemain de soirée, couchée à 5 heures, levée à 7 heures, sa voix était devenue aussi grave qu'un jeune baryton ! Génial pour les essais des chansons avec le pianiste, très drôle surtout ! • Elle prend très sérieusement des cours de chant, car étant autodidacte, elle n'en avait jamais eu l'occasion ni l'utilité. Il faut dire que ce n'était pas non plus son métier premier. Comme quoi, la vie nous emmène vers de ces rebondissements... • Son véritable rêve est de créer des costumes pour un spectacle. Elle compte y arriver en nouant des relations professionnels dans son actuel travail, et qui sait ? La prochaine production qui tapera dans l'oeil de L.A, ce sera peut être elle qui aura habillé toute la troupe ! En attendant, musique s'il vous plaît !
Le petit cocon de ton personnage
Hollywood, ce nom la faisait rêver comme tant d'autres avant elle et elle a décidé d'y déposer ses modestes bagages. Un petit appartement cosy, pas des plus spacieux, mais elle a su l'aménager avec goût. Il est lumineux, critère désiré, obtenu, c'était la première chose qui lui avait plu lors de la visite. Ça, et le dressing bien sûr. Beaucoup de gris, des touches de bleu lagon, un savoureux mélange entre la modernité des couleurs, et l'authenticité chaleureuse du bois clair. Quelques plantes vertes qu'elle peine à s'occuper, mais elle y prend du temps pour leur faire garder toute leur vivacité. Installée au quatrième étage, elle s'assoit souvent en tailleur devant la baie vitrée du salon. Elle y admire le soleil fatigué qui se couche, rougeâtre et enflammé, dans un silence des plus agréables. Un silence pour reprendre contenance, pour reprendre son souffle dans cette vie haletante qu'elle aime tant.  
Que pense t-il de la ville de Los Angeles ?
Des souvenirs du passé émergent à chaque avenue, un peu floutés par son jeune âge, mais pourtant, les images lui reviennent. Ses parents et elle avaient émigrés en Californie du sud durant plusieurs années. Elle n'était alors qu'une enfant, à la frimousse arrondie, intriguée par la hauteur des palmiers et des vagues du grand pacifique. Les gens aux visages si différemment d'elle, mais qui l'avaient accueillis avec une grande chaleur. C'était toujours un peu le même sentiment si l'on fréquentait les bons quartiers, et les bonnes personnes. Maintenant, du haut de ses vingt-six ans, elle sentait le parfum enivrant de l'ambition à chaque coin de rue, qui la guidait, l'envoûtait. A croire que c'est véritablement la ville où tout peut arriver. Elle a toujours été faite pour les grandes agglomérations, Séoul comptant plus de 9 millions d'habitants, alors ce n'était pas la ville des anges qui allait l'engloutir. Elle était tout de même très heureuse de retrouver le littoral, et ce climat tempéré. L'océan et l'air marin, rien de mieux pour travailler dans de bonnes conditions.
Pourquoi avoir choisi ce groupe ?
L’Anachorète hypocondriaque. Choix difficile, car en réalité, elle fait un peu partie de tous. Elle est plutôt réfléchie, elle sait où elle veut aller, où elle doit aller. Beaucoup de choses sont planifiées dans sa tête, surtout professionnellement. Biensûr qu'elle aime s'amuser, se lâcher, décompresser, comme tout le monde non ? Sinon, on exploserait littéralement avec toute cette pression que l'on subit jour après jour via un monde en perpétuel changement. Elle peut chanter en soutif sur le comptoir d'un bar branché de L.A, mais elle sait résister au pouvoir envoûtant de l'allégresse quand il le faut. Sérieuse, passionnée. Le travail, et se combler soi-même en premier. Le grand amour ? Il arrivera quand il arrivera, elle ne lui court pas après. Elle a bien assez de courses à mener, de quêtes à accomplir. Mais Sora, c'est avant tout une tornade, le feu ardent sous la chair, la flamme dans les prunelles onyx, et l'impulsivité dans les poings serrés. Point d'aura maléfique, mais imposante, dominante, une présence qu'il est difficile d'ignorer.
Quel est le petit secret de ton personnage ?
Il y a un peu plus d'un an, fin 2017, elle avait été recontacté par le magazine Vogue korea afin de les assister pour un grand événement prochain : un défilé exceptionnel. Ils avaient besoin de petites mains comme on dit, mais qui s'y connaissaient. Comment refuser ? Lors de ce fashion show d'un styliste américain de renom, Steven Kim, en collaboration avec le magazine, celui-ci l'aurait agressé lorsqu'ils se seraient retrouvés seuls dans un étage de l’événement. Tenté seulement, un ami photographe de la jolie brune serait intervenu, lui assénant une violente raclée comme il n'en avait sans doute jamais reçue dans toute sa vie. Pour une femme aussi fière que Sora, le choc fût immense. Surtout qu'il s'agissait du créateur qu'elle admirait le plus, d'où sa garde abaissée. Jamais elle n'avait tentée quoique ce soit avec lui, le séduire ne lui avait même pas traversé l'esprit. Son regard ne renvoyait qu'un profond respect et une envie de suivre son exemple. Quel fût son effroi en découvrant la laideur derrière le masque de lumière... Mais la vengeance était un plat qui se mangeait froid. Son ami photographe avait pris, lors de la soirée, des photos compromettantes de l'homme, qui laissaient entrevoir ses agissements dans l'ombre auprès des hôtes féminines. Le duo envoya le dossier à la presse américaine, et les paparazzis se chargèrent d'incendier les unes de tous les journaux. Puis, il rentra dans son pays natal et tout éclata. Les deux coréens n'avaient été que la flamme qui déclencha le brasier carnassier. Des dizaines de témoignages découlèrent, l'écrouant devant toute l’Amérique dans une affaire d'harcèlement sexuel. Il était tombé de son piédestal, et maintenant, il était plus bas que terre. Humilié, détruit. Depuis ce jour, la jeune femme éprouve encore plus le besoin de s'endurcir, autant mentalement que physiquement. Ébranlée jusqu'au plus profond de son être par cette peur écrasante de ne pas avoir bougé, de "n'avoir rien pu faire", elle supporte désormais encore moins que l'on tente de la dominer d'une quelconque manière. Bref, Kang Sora a été à l'origine de l'un des plus grands scandales qui a secoué l'Amérique au cours de ces dernières années !