Anne + you were my person

**DATE D'INSCRIPTION** : 11/12/2018

" Mettre une citation au choix"

"Anne Oswald"

◑ Nom Oswald, un héritage de son paternel qu'elle porte fièrement et qu'elle tente de faire connaitre ◑ Prénom(s) Anne, en référence à ses origines britanniques et à cette reine qui a eu la tête coupée ◑ Date et lieu de naissance Austin, 18 juillet 1989 ◑ Nationalité Américaine, rien d'original ◑ Orientation sexuelle Les hommes ont sa préférence ◑ Statut civil Célibataire depuis qu'il s'est enfui, depuis que des aventures sans lendemain. Plus question de s'attacher. ◑ Profession et/ou études Après une carrière ratée dans la musique, j'occupe un emploi de serveuse dans un café. Rien de reluisant face au futur qui m'attendait ◑ Quartier d'habitation (les descriptifs des quartiers sont ici Beverly Hills ◑ Qualités et défauts de ton personnage Décris ton personnage en quelques adjectifs mettant en avant ses qualités et ses défauts souriante + déterminée + bosseuse + râleuse + sérieuse + perfectionniste + ◑ Avatar Julianne Hough ◑ Groupe L'hémorragie de tes désirs ◑ Crédits @sassenach pour l'avatar

L'hémorragie de tes désirs s'est éclipsée sous la joue bleue dérisoire

Tics et manies et de ton personnage
Mon rêve le plus précieux était de pouvoir vivre de mon art, de la musique. J'ai pris des cours de chant pour perfectionner ma voix, appris plusieurs instruments comme le piano, la basse et j'ai quelques notions en harpe. La musique m'a bercé depuis ma tendre enfance. Je l'ai seulement effleuré, j'y ai cru un peu trop fort, au moins j'ai appris qu'il ne faut faire confiance à personne.
Je suis de ces gens qui vont aider les autres alors que rien ne va. Un sourire pour un client qui a l'air de passer une mauvaise journée ou des conseils (parfois foireux) à des amis. Cela me permet de penser à autre chose que mes problèmes et l'échec qu'est ma vie. L'injustice est quelque chose que je ne tolère pas, cela a failli m'emmener au poste une fois. Déjà petite, je défendais mes camarades qui se trouvaient punis injustement par les professeurs. Comme ma mère me dit au téléphone, j'aurais fait une bonne avocate, à vouloir défendre les causes perdues. Quand je pense avoir raison, je ne démords pas et je tiens tête à la personne qui est en face de moi. Et c'est très dur, voire impossible de me faire changer d'avis.
Le petit cocon de ton personnage
C'est un appartement que j'ai rejoint pour une collocation. Un appart qui lui a plu sur les photos et pour le prix pas trop élevé. J'ai pu personnaliser ma chambre avec des photos de ma famille, ma guitare, mes compositions qui trainent un peu partout dans ma chambre. C'est un bordel mais organisé ! Et l'une de mes spécialités est de laisser mes affaires dans la salle de bain.
Que pense t-il de la ville de Los Angeles ?
C'est une ville où je pensais que les rêves les plus fous pouvait se réaliser, où le mot impossible n'existait pas dans le dictionnaire. C'est aussi dans cette ville où j'ai compris que cela n'appartenait qu'à une poignée de personnes et que malheureusement je n'en fais pas partie. Los Angeles représente la déception et l'échec. Cependant, je persiste à croire que cette ville permet de rêver et pour les plus chanceux, de réussir.
Pourquoi avoir choisi ce groupe ?
Je suis une grande romantique, je rêve d'une belle histoire d'amour avec un prince sur son cheval blanc. Malgré l'échec de ma dernière relation, je nourris encore l'espoir de rencontrer un homme bien. Je n'ai pas encore renoncé à l'amour.
Quel est le petit secret de ton personnage ?
J'ai croisé la route d'un couple qui était propriétaire d'un adorable chien. Ces personnes sont devenus des amis et au fur et à mesure que j'étais invité chez eux, j'ai remarqué qu'il battait leur animal et qu'il ne lui apportait pas tout l'amour nécessaire pour que le chien se sente bien. Sur un coup de tête, j'ai décidé de m'enfuir avec le chien et d'être sa nouvelle maîtresse. Depuis, je n'ai plus aucune nouvelle de ces gens et le chien se porte à merveille.

Du temps qui se passe contre duquel on ne peut rien...

Parce que nous sommes curieuses, forcément, nous allons te demander touuuuut un tas d'informations bien croustillantes à ton sujet. Ton prénom/pseudo Wapiti/Hélène Ton petit âge 22 balais Ce que tu fais dans la vie ~~à part tuer des gens~~ Je les cuisine à la bière What a Face

Personnage inventé ou scénario Inventé et prélien Où as-tu connu le forum? C'est une histoire sombre... Un dernier petit mot ? Je ne peux pas rester longtemps loin de vous copinons

Être ou ne pas être, telle est la question sinusoïdale de l'anachorète hypochondriaque

Code:: [url=http://vice-et-versa.forumactif.org/t4340-anne-you-were-my-person#125187][color=red]◑[/color][/url] <span class="titlecat1">Julianne Hough</span> - Anne Oswald
[b]Anne Oswald : [/b][i]Beverly Hills[/i]
[b]Anne Oswald : [/b] [i]serveuse[/i]

**DATE D'INSCRIPTION** : 11/12/2018

Dessine-moi un mouton

J'étais en train de servir un client lorsqu'il est apparu sur l'écran de télévision. Il était sur scène à chanter son dernier single. Tous les femmes présentes dans le café s'étaient retournées vers l'écran dès qu'il avait commencé à chanter. Sa belle gueule avait séduite beaucoup de femmes, dont moi. Le présentateur du talk show annonça l'invité du jour, ce fameux chanteur de country qui a connu le succès il y a cinq ans. La plupart des clients et clientes sont en train de regarder la télévision, subjugué par ce que dit l'invité, sur comment il en est arrivé là et tas d'autres conneries. Je continue à les servir en ne prêtant plus attention à l'écran, il ne mérite pas tous les regards qu'il a aujourd'hui, ça je peux vous le dire. Pourquoi je dis ça ? Eh bien je l'ai connu personnellement et intimement avant que toute une foule clame son nom.

"Nooon ! S'il te plaît arrête de me chatouiller, je te promets de tout le temps te croire ! Tu as toujours raison ! Ooooh s'il te plait, je vais me faire pipi dessus si tu continues !" Voilà comment étaient rythmées nos journées. Nous avions un deux pièces à Austin, terre promise pour les personnes en mal de célébrité. Notre rêve était de percer dans la musique. Chacun avait sa spécialité, lui c'était la guitare et le chant, moi le chant, le piano et la harpe. C'est un instrument que l'on voit peu malgré sa noblesse et le son magique qui en sort. Il est d'une douceur que l'on trouve rarement dans d'autres instruments. Nous nous complétions aussi bien musicalement que dans notre couple. Il était le rêveur pendant que j'avais les pieds sur terre, enfin presque. Cette alchimie est née dans la cour de récré. Je jouais tranquillement dans le bac à sable avec des amies quand il est venu m'embêter. La petite fille casse-cou que j'étais enfant n'a pas hésité à lui faire manger du sable pour lui montrer mon mécontentement. L'histoire aurait pu en rester là mais ma mère a décidé que je devais m'excuser. C'est donc pourquoi je me suis retrouvée devant sa porte d'entrée à lui présenter mes excuses. Finalement, une amitié est née puis s'est transformée en un amour inconditionnel. Je n'ai pas besoin de m'attarder plus sur cette période, rien de bien intéressant s'est passé. C'est ensuite que cela devient plus intéressant.

Venant d'une famille de musicien, ils m'ont transmis le virus de la musique et l'envie d'en faire mon métier. Je ne voulais pas devenir une simple chanteuse dans un bar, je voulais faire connaître ma musique au plus de monde possible. Depuis petite, j'avais un carnet où j'écrivais des idées de chansons et les mélodies pour les accompagner. Cette manie ne m'a pas quitté, je me ballade toujours avec un carnet dans mon sac. C'est donc pour cet amour de la musique que je suis partie faire mes études à l'université d'Austin au département musique. Caleb m'a accompagné, il avait le même rêve, percer dans la musique. Nous avions donc décidée de prendre un studio à deux. Pour payer le loyer, nous avions trouvé un job étudiant, le salaire n'était pas fameux mais cela aidait quand même. De temps en temps, on se produisait dans des petites salles de concert ou lors de soirées étudiantes. C'était un bon moyen de se faire connaître et d'attirer l'attention. Nous avons eu cette vie pendant quatre ans. L'argent n'était pas au rendez-vous, aucun producteur ne nous avait contacté mais nous étions heureux et amoureux. A la fin de nos études, j'ai décroché un petit boulot dans un bar/restaurant en tant que chanteuse. C'est loin de mes espérances, mais suffisant pour commencer et cela avait un rapport avec la musique. Quand à Caleb, il avait trouvé un job de surveillant dans un collège du coin. Cela nous laissait du temps pour parfaire nos musiques et proposer une maquette à une maison de disque.

"Joyeux anniversaire mon amour." Je venais d'avoir 23 ans, et toujours aucun contrat. L'argent manquait toujours, mais nous étions toujours heureux, c'est ce qui nous aidait à tenir. "Je suis désolée mais tu le sais, l'argent nous fait terriblement défaut... Je te promets, je me rattraperais plus tard ! Je t'offrirais tout ce que tu voudras ! Mais je n'ai pas les mains vides pour ton anniversaire, je t'ai écrit une chanson.." Il attrapa sa guitare, gratta quelques accords puis commença à chanter. Au fur et à mesure de la musique, mes poils se hérissaient. A la dernière note, j'avais compris son message, ce qui me fit verser une larme. "Anne, je t'aime depuis ce jours où tu m'as fait manger du sable. Tu es mon premier amour, celle avec qui je me vois finir ma vie. Je n'ai pas de bague, mais on peut dire que la chanson l'est. Anne, veux-tu devenir ma femme ?" Mes larmes devenaient un torrent, ma joie décuplait, mon sourire arrivait jusqu'à mes yeux. A ce moment-là, je ne voyais pas comment être plus heureuse. "Oui, je le veux mille fois ! Je veux devenir ta femme !" et je me jetais dans ces bras. Cette chanson qu'il avait écrite juste pour moi, valait beaucoup plus que la plus chère des bagues de fiançailles. Évidement, le mariage n'aurait pas lieu tout de suite, on voulait attendre d'économiser pour s'offrir la plus belle journée de notre vie.

Il n'allait pas bien, un passage à vide. J'avais donc travaillé plus pour avoir un plus gros salaire et plus de pourboires. Avec cet argent, j'ai pu loué pendant quelques jours un studio d'enregistrement afin qu'il puisse enregistrer une maquette à présenter à des producteurs. Je voulais lui remonter le moral et c'était le meilleur moyen d'y parvenir, de lui montrer que je croyais toujours en lui. Au début, il ne voulait pas, disant que c'était de l'argent par les fenêtres. Mais il n'a pas résisté très longtemps, il ne pouvait rien face à ma détermination. Il était heureux de pouvoir enfin enregistrer une maquette et se tenir à cet infime espoir de percer un jour. Il passa une semaine complète dans les studios, jour et nuit. J'étais à ses côtés, lui dire ce qu'il fallait changer et l'encourager. Le voir avec cette hargne de réussir me rendait encore plus amoureuse de lui. Je retrouvais mon Caleb et à ce moment-là, notre relation s'améliorait. Il commençait à parler du mariage, du lieu de la réception, de la décoration et du repas que l'on pourrait proposer. Il me disait qu'importe la robe que je choisissais, je serais la plus belle de toutes les femmes. Il était comme ça, à s'enflammer sur un sujet. Il pouvait partir très loin et parfois m'emmener dans ses rêves les plus fous. Il me donnait envie de me marier là tout de suite, tant pis pour la grande cérémonie, je ne voulais que lui et moi, concrétiser cet amour qui dure depuis si longtemps. Cette douceur de vivre continuait, il avait reçu un appel d'une maison de disque voulant le rencontrer. Je ne pouvais pas être plus heureuse pour lui, le rendez-vous s'annonçait bien et la promesse de signer pour un album lui tendait les bras. Il avait enfin ce qu'il voulait, après des années de galère, son rêve allait pouvoir se réaliser. J'étais réellement contente pour lui, mais au fond de moi, je voulais être à sa place, avoir ce rendez-vous et pouvoir sortir mon album et me faire connaître, après tout, j'ai encore le temps.

Il avait réussi à avoir un contrat pour au moins un album, voir si cela fonctionnait. Il était fou en sortant du bureau et a réussi à me transmettre sa joie. Nous chantions comme des fous dans la voiture, à faire des plans pour notre future vie, imaginer la maison de nos rêves qui pourrait accueillir nos nombreux enfants. Je m'y voyais dans cette maison avec ces hypothétiques enfants, des minis nous qui gambadent dans une demeure beaucoup trop grande. Je n'aurais jamais dû le laisser me transporter comme ça. Un mois après ce rendez-vous, j'ai trouvé le lit vide. Je m'étais réveillée et n'avais pas senti sa présence. Sur son oreiller, je vis une lettre. Après quelques minutes à la fixer, je pris le courage de la prendre entre les mains et de l'ouvrir. Inconsciemment, je savais ce que j'allais trouver dedans et je ne voulais pas que cela me saute en plein visage. Je voulais désespérément penser qu'il m'avait laissé une lettre où il m'exprimait son amour, ou juste un mot pour dire qu'il était parti faire des courses, mais cela n'était pas dans ses habitudes. Comme un enfant qui a peur de trouver un monstre en dessous de son lit, je dépliais lentement le papier :
"Anne,
Je suis désolée mais je dois partir. Sache que je le fais à contrecœur, je n'ai pas eu le choix... Je t'aime et je t'aimerais pour le restant de mes jours.
Caleb."
Simple et efficace. Ces derniers mots, non la note en entier m'a fait fondre en larme. Comment a-t-il pu me faire ça ? Qu'est-ce qui l'obligeait à partir sans moi ? Tant de questions qui se bousculaient et aucune réponse. La maison de disque ? C'est possible, tout est possible. Je suis restée deux jours dans mon lit, à pleurer et trouver une explication plausible. J'ai essayé de l'appeler plusieurs fois, rien du tout. La voix me disait que le numéro n'était pas attribué. Je dois m'y faire, il m'a abandonné.

Cinq ans plus tard, je me retrouve à Los Angeles toujours en tant que serveuse. Je n'ai toujours pas réussi à vivre de ma musique. Je me suis résolue à mettre la musique de côté et trouver un meilleur boulot que serveuse. Pourquoi pas prof de musique, j'ai le diplôme pour pouvoir exercer. Ne pouvant pas louer un appartement seule à mon arrivée, j'ai opté pour une coloc' et j'y suis toujours. Au moins, je vois du monde et je ne me retrouve pas seule avec mon chien.

**DATE D'INSCRIPTION** : 30/10/2016

Bienvenue parmi nous & fighting pour ta fiche. fight

Hâte de savoir ce que nous réserve notre chère colocataire. héhé

D'ailleurs, j'me disais que ton pseudo me disait quelque chose, puis j'ai vu ton dernier petit mot.. donc j'imagine que t'étais là antérieurement, mais le pseudo du perso ne me revient pas là. fifou