un rancher dans les rangs - callum

**DATE D'INSCRIPTION** : 26/02/2019

" Vis comme si tu devais mourir demain, apprends comme si tu devais vivre toujours "

"Callum Butler"

◑ Nom Butler - de son père purement américain tombé fou amoureux d’une jeune rêveuse aux origines polynésiennes. ◑ Prénom(s) Callum - pour honorer le souvenir d’un grand-père paternel pas connu. ◑ Date et lieu de naissance Il est né au Texas, un 15/03/1984. ◑ Nationalité Américain, des origines polynésiennes. ◑ Orientation sexuelle Hétérosexuel. ◑ Statut civil Célibataire - marié à son ranch et ses animaux. ◑ Profession et/ou études Propriétaire du Butler’s Ranch, situé à San Fernando - Santa Monica - il y élève ses animaux et particulièrement ses chevaux d’une main de maître. Son ancien titre de champion de rodéo lui colle à la peau et lui a permis de se faire un nom dans le métier, aussi travaille-t-il souvent en étroite collaboration avec les plus grands du cinéma qui font appel à lui lorsqu’ils ont besoin de ses merveilles pour un film. Il cultive sa terre chaque jour et il ne changerait sa vie pour rien au monde. ◑ Quartier d'habitation Du côté de Santa Monica, San Fernando. Son ranch est suffisamment gigantesque pour qu’il y cultive fruits et légumes, mais pour qu’il y cultive également du bétail - ainsi a-t-il des vaches, des poules et des chevaux. La plupart de ses employés vivent dans des maisonnées sur le grand terrain qu’il possède, pour plus de facilité, quand d’autres préfèrent rejoindre la ville. Lui-même vit dans la grande maison qu’il a pu acquérir grâce à son ancien métier, en compagnie de sa petite soeur et de son petit frère qui l’aident dans le bon fonctionnement du ranch. Ils ont avec eux Ana, leur femme à tout faire mais aussi et surtout leur seconde maman. ◑ Qualités et défauts de ton personnage Perfectionniste, volontaire, déterminé, peu bavard, têtu, impatient, un nounours au grand coeur, généreux, indépendant. ◑ Avatar Jason Momoa ◑ Groupe Après réflexion, ce sera les tentacules de la déréliction - mais parce que je n'ai pas cette couleur. ◑ Crédits @Lux Aeterna pour l'avatar, GIPHY pour le gif.

L'hémorragie de tes désirs s'est éclipsée sous la joue bleue dérisoire

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Tics et manies et de ton personnage
☽ son corps est parsemé de divers tatouages, chacun représentant un évènement crucial dans sa vie, bon ou mauvais ☽ adore lire les romans policiers ☽ mais ne supporte pas de regarder la télévision ☽ il apprécie cependant le cinéma - métier oblige ☽ il déteste cuisiner et serait perdu sans Ana car il ADORE par contre manger ☽ il ne sort jamais dans un restaurant d'ailleurs qui ne soit pas A VOLONTE ☽ il s'estime heureux de pouvoir dire avoir déjà concrétisé plusieurs rêves ☽ même s'il aurait adoré joué au basket ou au football américain, deux sports qu'il affectionne bien ☽ cependant ils ne rivaliseront jamais avec l'équitation ☽ il n'a jamais bu une goutte d'alcool, et n'en boira jamais ☽ il n'a jamais fumé une cigarette, et n'en fumera jamais ☽ il déteste perdre son temps, aussi est-il levé à cinq heures du matin et couché à pas moins de minuit ☽ bordélique, il lui arrive souvent de perdre ses affaires et de ne plus se rappeler où il les a mises... ☽ il ne supporte pas qu'on lui dise quoi faire et surtout comment le faire - il est suffisamment grand pour savoir bordel de merde ☽ il ne quitte quasiment jamais son Stetson - c'est à croire qu'il dort avec ☽ peu adepte de la mode, on le verra jamais autrement qu'en jean et chemise - un vrai cow-boy dans l'âme.
Le petit cocon de ton personnage
Son ranch est à son image - immense et simple à la fois. La maison principale est composée de 3 étages - le dernier étant concrètement l’appartement aménagé pour son frangin, le second étage habité essentiellement par les femmes de la maison - sa soeur et Ana, la vraie maîtresse de maison, et Cal’ n’occupe que l’étage principal - sa chambre possède sa propre douche - comme toutes les autres chambres à vrai dire - et il est situé non loin de l’immense cuisine ouverte sur l’immense salon qui pourrait accueillir un véritable comité. Mais il n’y a que Shaya qui s’évertue à inviter du monde et organiser des petites fêtes. Plusieurs petites maisonnées arpentent les centaines, pour ne pas dire milliers, hectares appartenant au ranch, réservées pour son personnel (palefreniers, dresseurs, etc). A cela, on ajoute les écuries, les poulaillers et la vacherie, vous avez la maison de rêve signé Callum Butler. Que pense t-il de la ville de Los Angeles ?
Il connaît Los Angeles depuis toujours, puisqu’il a commencé à concourir très tôt - il devait avoir 5 ans. Champion de rodéo de père en fils, il a naturellement suivi les traces de son paternel et loin d’être le rêve d’un père qui s’acharne sur son fils, Callum a toujours su qu’il voulait faire ça : les chevaux, c’est son univers. Le grand amour de sa vie. Il n’est donc pas surprenant de le voir trimer et mettre son coeur à l’ouvrage dans ce ranch qu’il avait repéré des années auparavant. Au fond, il a toujours su qu’il reprendrait le ranch de l’un de ses mentors - veuf et sans enfant. Si pour cela il lui fallait vivre à côté de la Cité des Anges, qu’il en soit ainsi.Pourquoi avoir choisi ce groupe ?
Il n’est aucun des groupes proposés, et tous à la fois. Il n’est pas du genre fataliste, encore moins bagarreur et sombre. Mais il ne faut pas trop le titiller là où ça fait mal, sinon il peut exploser et vous surprendre. Il n’est pas du genre à réfléchir avant d’agir, il vit l’instant présent sans se poser de question qu’il juge inutile. Il n’est pas très fêtard, mais il apprécie la compagnie de ses amis et de sa famille. Il ne l’avouera sans doute jamais mais lorsque Shaya parvient à réunir tout le monde, il est plus que ravi. Au fond, Cal’ ne parle pas beaucoup et semble peu joyeux en temps normal, mais il se considère comme l’homme le plus heureux du monde. Quel est le petit secret de ton personnage ?
Il ne l’a dit à personne, mais il nourrit secrètement l’envie et le projet de retenter le championnat du monde de rodéo qui aura lieu d’ici un an. Il se sait plus vieux que la plupart des participants, mais également le plus expérimenté. Il se sait moins endurant que lorsqu’il était jeune, mais plus volontaire aussi. Il voit cela comme un défi, et comme une façon de dire au revoir à ce métier qui lui a tant apporté - pour ne pas finir sur un échec, puisque sa dernière participation lui a rapporté une vilaine blessure à l’épaule gauche - un coup qu’il aurait mieux valu éviter. Sa soeur pètera sans doute un plomb quand elle l’apprendra, et son frère se fera un sang d’encre, aussi garde-t-il ce projet pour lui pour l’instant.

Du temps qui se passe contre duquel on ne peut rien...

Parce que nous sommes curieuses, forcément, nous allons te demander touuuuut un tas d'informations bien croustillantes à ton sujet. Ton prénom/pseudo nono aka shadows, ou shadows. aka nono. Ton petit âge j'ai 20 ans fuck

. Ce que tu fais dans la vie ~~à part tuer des gens~~ je les déteste mouais

. Personnage inventé ou scénario un petit chuya des 2. Où as-tu connu le forum? un rancher dans les rangs - callum 1554632545

. Un dernier petit mot ? Nadou j'te déteste toi et tes tentations fifou

Être ou ne pas être, telle est la question sinusoïdale de l'anachorète hypochondriaque

Code:: [url=http://vice-et-versa.forumactif.org/t4451-un-rancher-dans-les-rangs-callum#128896][color=red]◑[/color][/url] <span class="titlecat1">Jason Momoa</span> - Callum Butler
[b]Callum Butler : [/b][i]Santa Monica[/i]
[b]Callum Butler : [/b] [i]Propriétaire d'un ranch, dresseur de chevaux[/i]

**DATE D'INSCRIPTION** : 26/02/2019

Dessine-moi un mouton

Il avait l’habitude des cris. Il avait l’habitude de la foule. Il avait l’habitude de l’adrénaline. De la peur. Qui coule dans les veines. Qui prend aux tripes. C’était une sensation qui galvanisait. Un sentiment qui forçait à donner le meilleur de soi-même. Et il n’y avait rien de plus exaltant aux yeux de Callum Butler que ces émotions qui l’envahissaient chaque fois avant qu’il ne grimpe sur son étalon et qu’il prouve - non seulement au reste du monde, mais surtout à lui-même - qu’il était capable de réussir. Il était le plus jeune concurrent, et il manquait d’expérience. Mais le savoir ne l’empêchait pas de se lancer. Mais le savoir ne l’empêchait pas d’y croire. Il s’entraînait depuis gamin - certains disaient même qu’il avait appris à galoper avant d’apprendre à marcher. Il était déjà grand pour son âge, et fort bien bâti. Il n’avait pas été compliqué de l’inscrire et de le faire concourir de ce fait. Il gagnerait, il en était certain. Orgueil ? Fierté ? Arrogance ? Sans doute un cocktail de tout cela, mais il ne pouvait pas se permettre d’être défaitiste et pessimiste. Il n’avait pas été élevé pour faire les choses qu’à moitié. Ses parents lui avaient inculqué des valeurs et des principes auxquels il tenait fermement. « Et maintenant, faites un triomphe monstrueux pour le plus jeune de nos concurrents - il est fougueux, il est déterminé, il est tenace et c’est la première fois qu’il se lance dans cette aventure - je vous demande un tonnerre d’applaudissements pour Calllllllllllllluuuuuuuuuuum Butler ! » qu’on le présentait enfin. Il avait seize ans, et alors que ses camarades de classe ne pensaient qu’au football américain et aux filles, lui ne vivait déjà que pour ses animaux - et ses chevaux en particulier. Il avait toujours été le gamin étrange, l’outsider, celui qu’on ne parvenait pas à cerner - mais loin d’être devenu le bouc-émissaire de son école comme on aurait pu le penser, il était respecté - voire craint par certains. Faut dire qu’il dépassait le mètre quatre-vingt à à peine douze ans et que le travail au ranch familial favorisait sa carrure naturellement musclée. Oui, il avait l’étoffe d’être un grand cow-boy, et de gagner son premier rodeo.

Et il gagna.

***

Cela faisait très mal. Très mal. Des blessures physiques, il en avait connues un certain nombre - de par son travail au ranch, avec diverses coupures plus ou moins graves, et quelques fractures par-ci, par-là, et de par son travail. Les chevaux étaient des êtres magnifiques, mais il ne fallait pas être un débutant quand on se lançait dans une carrière comme la sienne. On ne plaisantait pas avec le rodéo, et le rodéo exigeait beaucoup. De son temps, de son énergie, de sa force et de sa passion. Donc, en effet, il ne pouvait pas - et ne voulait pas - s’engager sentimentalement comme beaucoup désiraient le faire. Et malheureusement, Kaylee attendait beaucoup de sa part. Kaylee exigeait beaucoup de sa part. Kaylee espérait beaucoup de sa part. Cela faisait plus de deux ans maintenant qu’ils se fréquentaient. Il appréciait vraiment la jeune femme, sa compagnie autant que sa beauté, mais il avait toujours été très clair avec elle : il avait un job qu’il aimait par-dessus tout, et une carrière à vivre. Ce n’était pas tant qu’il était arriviste ou accroc à la célébrité - au contraire, il aurait bien aimé pouvoir vivre de sa passion sans avoir à passer par cette case - mais il avait la chance de faire ce qui lui plaisait le plus au monde, d’exercer le métier de ses rêves et de pouvoir en vivre, une chance qui n’était pas donnée à tout le monde. Mais cela, Kaylee semblait l’avoir oubliée. « Cal’, s’il te plaît, écoute-moi, Cal, regarde-moi merde, je t’en prie, » qu’elle tournait autour de lui comme une furie, paniquée sans doute, terrifiée sans doute. Il était en train d’empaqueter le peu d’affaires qu’il avait fini par laisser chez elle depuis deux ans. Car s’il était ambitieux et vivait son rêve à fond, il n’en était pas moins ébranlé et déçu d’avoir trouvé Kaylee au lit avec un autre. La loyauté, c’était sacré. La fidélité, c’était sacré. Peu importait les raisons qui l’avaient poussée à le tromper, elle l’avait fait et ainsi, elle avait mis un terme à leur relation. Point final. « Je n’ai pas envie de t’écouter, Kay, » qu’il répliqua d’un ton calme et posé, ce qui était pire que s’il avait hurlé. « Je n’ai pas envie de te regarder non plus, » qu’il achève en refermant son sac. Qu’elle l’ai trompé était une chose. Qu’elle l’ai trompé avec son meilleur pote en était une autre. « Je suis désolée... vraiment, je suis désolée, je n’ai pas d’excuse, Cal’. Je me sentais juste seule, » qu’elle pleure tandis qu’il ouvre la porte. Il aurait pu dire quelque chose, n’importe quoi. Lui dire qu’il comprenait, qu’il était lui-même désolé d’avoir laissé traîner les choses ainsi. Lui dire qu’il était tout aussi responsable qu’elle de toute cette merde. Mais il ne dit rien. Et referme la porte, définitivement.

***

« Il est à toi, » que lui lance Ashton. Ashton avait été plus qu’un mentor pour Cal’ au fil des années. Il avait été un second père. Le meilleur ami de son père. Ils se considéraient comme des frères et Cal’ ne le considérait pas moins comme un oncle, plus que comme un ami. « Quoi ? » qu’il lui demande, abasourdi. Cela faisait plusieurs minutes qu’ils étaient installés sur les marches du ranch d’Ashton, à parler de tout, de rien. Plusieurs minutes qu’Ashton lui expliquait qu’il était temps pour lui de prendre sa retraite, un repos bien mérité qu’il clamait. Ce qui n’était pas faux. Les soucis de santé avaient été quelque peu nombreux ces derniers temps et les médecins lui avaient bien signifié de ralentir, voire même de raccrocher. Il avait soixante-quinze ans bon sang ! Mais un rancher avait toujours du mal à lâcher prise. « Tu m’as bien entendu, fiston. J’en ai parlé à ton père, bien sûr. Il aurait été plus juste que tu hérites de son ranch, mais il sait que ta vie - votre vie - est ici maintenant, » qu’explique Ashton. « Je n’ai pas eu la chance d’avoir d’enfants avec ma Ruth, Cal’. Shaya, Eli et toi, vous êtes les seuls que je considère comme mes propres enfants. Et tu sais que je ne léguerais jamais mon ranch à n’importe qui, » qu’il rajoute l’air malicieux mais sérieux. En effet, il ne lâcherait jamais la bride et ne prendrait jamais ce repos bien mérité s’il ignorait à qui laisser le ranch. Bien sûr, Cal’ avait les moyens de lui racheter, et encore plus les moyens de s’en occuper à la perfection - il y avait travaillé une grande partie de sa vie. Mais tout de même, ce cadeau était... il n’y avait pas mot assez fort pour le décrire.

Mais il ne pouvait pas refuser son offre. Comme il avait embrassé sa carrière de champion de rodéo quand elle s’était présentée à lui, il embrasserait cette nouvelle opportunité avec joie. Shaya, Eli et lui emménagèrent donc aussitôt les parts rachetées dans le ranch d’Ashton Baxter - qu’ils renommèrent le ranch Butler. Et à eux trois, ils géraient l’affaire comme des maîtres. Shaya était une merveilleuse gestionnaire - femme à tout faire, elle gérait le stock entier du ranch, de la nourriture aux matériaux. Eli, quant à lui, était tout aussi amoureux de ce travail que l’était Cal’, mais il était plus ouvert et plus social que son aîné - aussi s’occupait-il des randonnées équestres qu’ils proposaient aux touristes de la région, et géraient les divers contrats qui les liaient aux commerces alentours. Cal’, lui, gérait l’écurie, dressait les chevaux, les accompagnait sur les lieux de tournage quand il le fallait, acquérait de nouvelles bêtes magnifiques pour les dresser et les revendre par la suite ou bien les présenter à divers concours.

A 35 ans, il estimait avoir une vie remplie, mais surtout une vie idyllique.