Revenir en haut Aller en bas



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal

Partagez
 

 « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Ivy Sawyer
Team Margarita
Ivy Sawyer
DATE D'INSCRIPTION : 09/11/2015
MESSAGES : 4375

« When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ Empty
MessageSujet: « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎   « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ EmptySam 16 Fév 2019, 22:37

Depuis quand était-elle tombée ? Depuis quand avait-elle succombé ? De ce regard sombre à ces allures envoutantes, de ces paroles à ces gestes, de ces caresses à ces invitations à le rejoindre lors de nuits somptueuses. Elle se faisait de cendres, se consumait de l’intérieur, à peine posait-il les yeux sur sa silhouette. Que diable pouvait-elle lui trouver ? Qu’avait-il donc que tous ces hommes qu’elle peut rencontrer jour après jour ? Même certains clients lui paraissent si fades comparer à Cesco. Oui, il avait fait ce que les autres n’avaient pas pu faire, il avait réussi à lui offrir une autre vie, une vie qui lui permet de gagner mieux sa vie tout en profitant d’un luxe dont elle n’aurait jamais pu rêver accéder s’il n’avait pas offert cette opportunité. Il lui avait donné l’argent, il lui avait donné du travail, il lui avait donné ce que nombre de personnes ne peuvent offrir. Mais avant de lui donner ce dont elle avait besoin, ils avaient commencé tel des amants. La belle n’avait alors aucune idée de la personne qui s’était retrouvée à lui proposer de boire tout d’abord un verre, elle n’avait aucune idée de celui qui allait l’emmener chez lui, elle ne savait pas avec qui elle avait fait l’amour cette nuit là. Et son étonnement fut encore plus grand alors qu’elle le vit s’en prendre à son boss, le plantant tel l’homme vulgaire qu’il avait toujours été envers ses employées, elle avait suivi les yeux fermés celui avec qui elle avait passé du bon temps. Pour bien entendu recommencer. Devenue escorte, elle savourait le luxe dans lequel elle pouvait vivre le temps de ses contrats, nourrie et blanchie le temps de ces derniers. Elle aime se prendre au jeu, devenir l’une de ces croqueuses de diamants s’offrant la compagnie d’un homme plus vieux. Devenant soudainement la fiancée sortie de nulle part pour faire taire des rumeurs grotesques. Elle s’amuse, elle virevolte, elle apprécie.

Elle avait été réticente par la suite. Qu’avait donc vu Cesco pour qu’elle devienne l’une de ces filles qui couchent pour de l’argent bonus supplémentaire ? Il se prit un refus catégorique et une grève de sexe en plein visage. Elle avait voulu se relever du lit, s’échapper des caresses insistantes de cet homme, mais elle devait bien l’avouer, elle lui cède presque toujours. Son cœur avait battu plus fort alors qu’il lui disait qu’elle était spéciale, qu’elle ne coucherait pas avec tout le monde. Sa raison cédait petit à petit alors que les paroles se glissaient entre eux. Et lorsqu’il expliqua qu’elle ne coucherait qu’avec la sélection propre du Padre en personne, elle céda pleinement. Envolée la grève de sexe qu’elle avait voulu pourtant ferme et définitive pour cette soirée, envolée sa décision de ne pas obtenir des bonus. Envolée des résolutions au fil de baisers aussi intense que la personne qui déposait ses lèvres sur les siennes.

Elle avait appris à éviter les claquements des talons hauts de la sœur, elle avait appris à esquiver cette vipère sur pieds qui semblait haïr la proximité d’Ivy avec Francesco. Elle n’avait plus envie de compter les fois où elle se vantait des talents au lit de cet homme, et principalement lorsque Bianca se trouvait dans les parages. L’agacer devenait une seconde nature, elle aimait parler aux autres filles des prouesses dont le Padre était capable. Elle aimait aussi se vanter d’être la seule de la maisonnée à pouvoir profiter de cette proximité intime dont elle bénéficiait. Elle suscite les jalousies par moment, en profitant pour provoquer, énerver, agacer les autres en jouant les innocentes. Mais par dessus tout, elle n’en a jamais parlé à sa petite sœur. Ivy ne sera jamais capable d’avouer à sa seule famille qu’elle couche régulièrement avec son boss et qu’en plus de cela elle vient à coucher aussi avec ceux qui la paie. Enfin, certains seulement et choisi avec soin par son fameux patron. Mais la situation est compliquée, elle doit continuer à éponger la dette et payer les études de sa cadette, alors elle continue de sourire, se sachant néanmoins en sécurité lorsque Cesco fait son tri de clients potentiels. Elle ferait n’importe quoi pour satisfaire les envies de ce dernier …

Elle en vient alors à y réfléchir encore, alors qu’elle se trouve une nouvelle fois entre les bras de cet Italien qui lui a promit mont et merveille. Avait-il réussi ? Oui, presque totalement. Elle se retrouvait avec une belle somme d’argent sur son compte, assez pour lui permettre de tout payer, elle se pavane dans des soirées mondaines au bras d’hommes ravissants qui demande ses services, elle vit dans le luxe qu’elle n’aurait pu connaître sans les avantages qui vont avec le métier et ses tenues peuvent coûter une véritable fortune. Mais il y a bien une petite ombre sur le tableau, elle a peur de ressentir plus, que ce simple béguin pour ce bellâtre italien ne devienne trop dangereux pour continuer leurs rencontres. Ce simple attachement fait qu’elle ne résiste pas, qu’elle craque, qu’elle fond, qu’elle devient fragile au moment où elle sent la noirceur de son regard dans son dos. Elle frissonne lorsque sa main caresse sa peau nue, sourit alors qu’il se fait plus insistant. « Tu es insatiable. » Qu’elle râle en repoussant la main baladeuse, s’étirant sous le nez de l’Italien avec un sourire taquin. « Deux fois, on l’a déjà fait deux fois. Tu sais que je suis censée rentrer chez moi un jour ? » Qu’elle plaisante, jouant de l’effet qu’elle sait lui faire en laissant son corps à découvert. Une lueur amusée dans le regard, elle roule pour se mettre sur le ventre et se rapprocher du ténébreux. « A moins que tu n’aies quelque chose à me demander l’Italien ? » Elle ne peut se résoudre à le nommer par son prénom sauf quand elle est vraiment énervée, mais comment pourrait-elle être agacée alors qu’elle venait d’être comblée, et ce par deux fois ? Elle fit glisser sa main sur la joue de l’homme, l’observant un moment dans le silence, se demandant par quelle sauce elle allait encore être mangée. « Que me réserves-tu encore ? » Qu’elle murmure, ses yeux se perdant dans a contemplation de ses lèvres qu’elle souhaiterait encore sentir le long de son cou.
Revenir en haut Aller en bas
Francesco Visconti
Team Tequila Sunrise
Francesco Visconti
DATE D'INSCRIPTION : 18/11/2018
MESSAGES : 666

« When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ Empty
MessageSujet: Re: « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎   « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ EmptyDim 17 Fév 2019, 19:17

Si il existait bien une chose sur cette Terre qui rendait le Padre Visconti hors de lui -hormis la totalité des désaccords qu'on osait lui opposer et l'inexcusable des imprévus allant à l'encontre de ses plans -, c'était bien la violence portée lâchement contre les plus faibles; lorsqu'elle ne venait pas de lui, de sa propre volonté, lorsqu'elle n'était pas jugée nécessaire, lorsqu'il ne l'avait pas ordonnée. Et de cette violence répugnante portée à cette belle donzella, Cesco se souvint parfaitement avoir été le Sauveur d'une nuit... peut-être d'une vie, de sa tendre Ivy Sawyer. Cette nuit là, il eut réellement conscience des pleins pouvoirs qu'il obtint sur la jeune femme. Face à ce regard vivant plein de reconnaissance, cette beauté fatale prête à tout pour se sortir de la merda qu'elle ne méritait pas mais dans laquelle elle s'était inévitablement fourrée. Pour lui, à la base, cela n'avait été que naturel. L'on ne frappait pas une aussi jolie femme pour aucune raison, et même si raison il y avait, si elle n'était pas le fruit des idées diaboliques ou vengeresses (ou les deux) de Cesco, elle n'avait donc rien de plausible.

Il avait lu en Ivy comme dans un livre ouvert. Il avait lu la détresse, le désir, aussi, qu'il partageait, mais également vu beaucoup de potentiel. Elle était divine. Elle avait une certaine aisance dans sa manière de se déhancher, beaucoup de sensualité; mais, aussi, et surtout, une prestance digne que toutes les putains de Livia ne pouvaient se vanter d'avoir. Il était une certitude : il la lui fallait. Parmi les chouchoutes, les beautés intouchables, ou presque, les putains que l'on n'appelait pas ainsi car elles étaient au dessus, elles ne servaient que les intérêts les plus hauts de la maison Visconti. Elles étaient les mieux logées à l'enseigne Santini, mais il leur fallait également être bien plus performantes que la catin de base, l'on devait naturellement mériter son salaire. L'excellence et rien d'autre. Les répercutions pouvaient être trop importantes pour risquer d'embaucher des nanas incapables de finesse et de subtilité. Évidemment, il lui avait parlé de tout ça, des exigences attendues, de tout l'or qu'elle pourrait en récolter. Il voyait bien que cela concordait à leurs plans respectifs, qu'il ne la manipulait pas tant que ça, pourquoi donc se priver ? Pourquoi refuser quand tout le monde y gagnait ? Elle fut réticente, quelque peu, rien qu'un peu, au début, mais elle comprit vite que ses intérêts étaient en jeu et le charme de Cesco fit tout le reste pour la persuader de foncer. Et il avait senti, évidemment, il n'était pas dupe. Ses regards veloutés se balader sur ses lèvres, ses sourires charmés et charmeurs, ses petites crises par instants... Il avait une certaine domination sur elle car elle avait un certain crush sur lui. Profitait-il d'elle ? Peut-être un peu, quelque part, mais il ne se montrait pas faux avec elle, il n'était que lui même : un bel étalon italien tombeur de ses dames, un peu trop cliché finalement.

Cela faisait un petit moment qu'elle bossait pour lui. Une étoile parmi les étoiles, mais l'une des plus brillantes d'entre elles. L'une de celles que l'on ne pouvait s'empêcher de convoiter, de vouloir ne serait-ce que frôler. Celle qu'il était interdit d'approcher sans l'accord du Padre lui même. Trop précieuse pour les sales pattes de ces loups galeux. Il fallait mériter ses services, il fallait que le client soit clean, assez bien pour elle, parfois paradoxalement plus de ce côté-ci que du contraire. L'ironie était telle qu'il s'ennuyait souvent d'elle, de ses miracles bien agréables, à tel point qu'il regrettait parfois de l'envoyer en mission trop longtemps, loin de son regard inquisiteur mais protecteur.

Aujourd'hui, il n'avait cependant pas le choix. Elle était la seule à pouvoir mener à bien cette mission dont lui avait parlé Livia. Cette dernière n'avait pas même essayé de convaincre Ivy, et elle avait bien eu raison; Cesco était le mieux placé pour faire céder sa douce conquête. Tout contre sa peau, l'érotisme transportant des hanches de la luxueuse poupée l’appelait encore. Il glissa une main sur sa peau délicieuse avec lascivité. Le refus qu'il reçut le fit rire légèrement. « Et toi tu es désirable, je n'y peux rien. » Il souriait, clairement amusé de la tournure que prenait la situation. Définitivement, Ivy était l'une des rares à pouvoir admirer la présence d'un Cesco au levé, after sex, ne pouvait-elle pas juste en profiter ? Il était vrai qu'il était bien trop demandeur, mais c'était de sa faute à elle... Elle n'avait qu'à pas être si... « Mmh... Je sais surtout que tu es très bien dans mes bras. » qu'il lui répondit, la moue espiègle, tout en joignant le geste aux mots en l'entourant de ses bras musclés. Mais, forcément, elle n'était pas de ces putains sans cervelles qui ne le voyait pas venir, même lorsqu'il se montrait aussi franc. Il ne restait jamais aussi longtemps après les séances de bon temps, ne se montrait jamais aussi taquin pour le plaisir. Tout était question de plan, d'objectif. « J'aime que tu sois aussi perspicace, ragazzaccia. » souffla-t-il de sa voix suave, laissant ses doigts se balader sur le visage de la bella. Il remit l'une de ses mèches baladeuse derrière son oreille et lui fit les yeux enjôleurs. Ceux qu'il savaient irrésistibles. « J'ai un nouveau client à te présenter, tesoro. Il est très important pour moi que ce soit toi. » commença-t-il avec précaution, peu certain de la réaction qu'aurait son amante. Elle pouvait être assez imprévisible dans son genre. « Cela te demanderait beaucoup d'investissement, c'est certain, mais il y aurait également beaucoup d'argent et de jolis pourboires à la clé. Ça signifierait aussi que tu ne serais qu'à lui, et uniquement à cet homme, pour deux ou trois bonnes semaines. C'est un gros dossier. Ne crois pas que je me moque de toi, je n'oserais jamais, mais je ne vois que toi pour le rôle. Regarde toi ; tu es parfaite. Il me faut une fille sublime, tu l'es, une qui ait une classe indéniable, tu en es bien plus que n'importe qui, le déhanché d'une déesse, ais-je vraiment besoin de te dire à quel point tu es celle qu'il me faut ? Non, vraiment, je ne vois que toi. C'est un politicien friqué et très courtois, je suis sûr que tu l'appréciera... Mmh ? Qu'est-ce que tu en dis ? » qu'il appuya ses belles paroles en scellant ses lèvres à celles d'Ivy.
Revenir en haut Aller en bas
Ivy Sawyer
Team Margarita
Ivy Sawyer
DATE D'INSCRIPTION : 09/11/2015
MESSAGES : 4375

« When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ Empty
MessageSujet: Re: « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎   « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ EmptyMer 20 Fév 2019, 20:15

Sa peau contre la sienne avait cette tendance à la calmer, l’apaiser. Elle se savait perdue ou vaincue à l’instant même où il l’effleurait du bout des doigts. Nombreuse sont les fois où elle cède sous des caresses incessantes, entêtantes, envoûtantes. Elle se gardait bien de parler de cette relation à sa famille, Maddy ne s’en remettrait pas, quant à leur mère peut-être qu’elle ne réagirait pas, comme toujours finalement. Mais dans le doute, elle ne préférait rien dire de ses aventures de peur que les chastes oreilles de sa sœur ne soient contaminées des pensées et actes légèrement poussés et dépravés. Oui, personne n’avait besoin de savoir qu’elle couchait régulièrement avec son patron ou du moins celui qui se trouve au sommet de la chaine. Mais rien n’empêchait Ivy de parler de cette relation avec les autres filles de son genre, il y avait celles qui restaient tout le temps au bordel de Cesco puis d’autres, comme elle plus précieuse, qui continuait à travailler pour lui sous contrat et bonus … Et quel bonus ! Sauf que Ivy était clairement jalousé de ce qu’elle pouvait vivre au sein de cette entreprise, les autres filles la regardaient parfois de haut ou d’autres se jetaient presque à ses pieds pour connaître les dernières prouesses sexuelles de cette dernière. Pour les hautaines et vicieuses, la blonde ne se privait pas de s’étendre sur la banquette qu’elle occupait en évoquant une fatigue accrue à cause de son activité nocturne et pour les autres elle parlait, des minutes ou des heures cela n’avait absolument aucune importance mais elle parlait. Et bon sang ce que cela lui faisait du bien de parler avec des filles dans une situation similaire à la sienne, d’échanger parfois même des connaissances secrets ou chose importante sur certains clients connus. C’est de cette manière qu’elles gagnaient leur vie, faisant passer du bon temps, prenant du plaisir avec d’autre. Ivy faisant monde à part en prenant des contrats lui permettant de vivre dans un luxe divin, vêtue de parure d’or dans un monde de diamants.

Désirable. Un sourire étira ses lèvres au moment où elle aperçut celui de l’Italien. Mais alors que certains auraient fuit comme devant la peste face à ce regard, Ivy faisait face avec bonheur, elle aimait les défis et il en représentait un à lui tout seul, ne serait-ce que pour avoir les honneurs qu’elle possède face à toutes les autres. Le bras autour de Cesco autour d’elle, un plaisir non dissimulé se glissait sur sa peau en la faisant frissonner, elle ne connaissait rien de plus délicieux que de sentir cet homme auprès d’elle. Diable ce qu’il est sexy ! Mais la demoiselle sait, elle sait que rien n’est fait par hasard et que tout est parfaitement calculé lorsque l’on se nomme Padre. Lorsque ses yeux plongèrent dans le regard de l’Italien elle comprit que quelque chose devait passer, un message que lui seul serait capable de délivrer. Un nouveau client. Et pas des moindres pour qu’il agisse de la sorte, Ivy releva un sourcil curieux sachant que même si la bataille serait certainement gagnée elle ne s’avouait pas facilement vaincue. Loin d’être soumise mais simplement complètement sous son charme. Elle l’écoute avec patience, grimaçant à l’évocation du mot politique. Elle n’aimait pas ça, pire, elle détestait en réalité. Elle gardait en tête l’argent, l’argent et encore l’argent qui lui permettait de tenir debout aussi longtemps que possible, ça mais aussi Francesco. Ses hormones finiront par la faire complètement sombrer à cause de cet homme ! La tentation de ses lèvres sur les siennes … Non ! Pas question de céder aussi facilement.

« Deux ou trois semaines ? Chéri, je sais que tu n’es jamais en manque de compagnie, mais te sens-tu capable de te passer de moi autant de temps ? » Qu’elle murmure, jouant alors ce jeu de séduction qui la passionne avec lui depuis leur rencontre. Le poussant sur le dos, elle s’allongea sur lui, ses mains caressant délicatement le visage de l’Italien. « En me disant gros dossier, tu tentes de me faire passer un message ? » Qu’elle continue de murmurer en déposant quelques baisers au creux du cou de son amant. « S’il est moche, il peut toujours se brosser pour que je couche. Politique et beauté ne vont pas ensemble en général. » Qu’elle fini par râler en continuant son petit jeu, revenant planter ses yeux dans ceux du ténébreux. « La déesse au déhanché parfait préfère être mater par les Italiens mystérieux de ton genre. » Qu’elle taquine en se redressant soudainement, offrant une vue parfaite à Cesco sur elle, à cheval sur lui. Elle sourit, amusée par cette situation qu’elle voulait maîtriser mais qu’elle savait perdre d’avance. Cesco avait toujours eu ce pouvoir de toute manière. « Je ne suis pas certaine d’agréer votre requête Monsieur. » Qu’elle s’enveloppe du drap autour des épaules avant de se laisser glisser du lit pour se diriger dans la salle de bain. Mais à mi chemin de cette dernière, Ivy eut ce genre d’idée lumineuse dont elle avait le secret. Elle marqua un arrêt, laissa tomber le drap à ses pieds et d’une démarche très féminine atteint sa destination. « Il va te falloir bien plus que de simples paroles pour me convaincre ! » Lance-t-elle en allumant l’eau de la douche. Il ne faudrait pas longtemps à l’Italien pour la rejoindre, il savait parfaitement la manipuler à sa guise mais lorsqu’il s’agissait de séduction Ivy n’était pas sans ressources.
Revenir en haut Aller en bas
Francesco Visconti
Team Tequila Sunrise
Francesco Visconti
DATE D'INSCRIPTION : 18/11/2018
MESSAGES : 666

« When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ Empty
MessageSujet: Re: « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎   « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ EmptySam 30 Mar 2019, 16:32

Les femmes. Probablement le plus grand vice de Francesco. Elles étaient viles de tentations, absolument divines de péchés et très certainement toutes sardoniquement liguées dans le but évident de le faire ployer un jour ou l'autre. Déchéance séduisante qui ne serait pas totalement impossible sur le long terme, à bien y réfléchir, il était bien triste de constater que ces créatures dont il s'amourachait tant deviendraient celles qui signeraient sa grandiose perte. Peut-être pas aujourd'hui, ni demain, mais ce jour viendrait, il le savait. Les femmes étaient le véritable fléau déguisé de ce monde. Mais, pour le moment, le Don Juan préférait de loin se contenter de profiter de ses célèbres charmes qui n'avaient jamais rien eu à prouver à quiconque, plutôt que de penser plus que nécessaire à sa faiblesse de chair. La séduction, une bien dangereuse lame affûtée, il était naturellement maître de l'art martial dans lequel elle était dignement prônée sensuellement devant les yeux désireux, qu'il soit question de ceux de le gente féminine ou masculine. La séduction n'était pas qu'à but intime, Cesco savait charmer dans tous les domaines et était diablement doué lorsqu'il était question de manipuler avec un délice certain ses nombreuses proies pour obtenir d'elles précisément ce pourquoi il prenait tant de peine. Ces temps-ci, il jouait beaucoup avec ses amicos les flics, par exemple, ce qu'observaient d'un très mauvais œil Paolo et Livia, notamment... La vie sans ses douloureuses touches de violences, de risques et de danger n'avait plus ce goût de sang frais dont raffolait particulièrement le Padre.

Un sourire en coin, le tombeur de ces dames minaudait à l'italienne, ou dans son cas plutôt à la Cesco, comme il savait si bien y faire avec le puttane de sa fidèle Livia et avec toutes les autres bellezze qui avaient le bonheur, ou le malheur, de croiser son regard ombré. L'une de ses préférées, la délicieuse sucrerie répondant au doux nom d'Ivy, jouait quelque peu de ses charmes pour lui refuser une mission à peine soufflée au creux du lit. Il était évident qu'il n'était qu'une question de temps : de minutes, voire de secondes, pour qu'elle cède à ses moindres désires. L'on ne résistait que très peu au Padre, il était même préférable de ne pas s'y essayer... mais lorsque l'on était aussi sensuelle et désirable qu'Ivy, les exceptions pouvaient bien avoir le loisir d'exister pour son plus grand plaisir.

Il lui souffla d'une voix suave ce pourquoi il était resté aussi longtemps tout contre elle en cette matinée mouvementée. Il savait qu'elle savait. Elle savait qu'il jouait. Il gagnerait. Il gagnait toujours. La question était : dans combien de temps déclarerait-elle forfait ? Elle se tendit tout à coup, fit une moue qu'il trouva à son goût... La politica americana, lui même n'en était pas le plus grand fan, il devait l'admettre. Mais le gars était clean et elle n'aurait pas à se mêler plus que nécessaire à ce milieu de faux semblant tout aussi sale que le leur. Bien vite la jolie blonde se focalisa avec un amusement certain sur un autre point, celui qu'on lui reconnaissait toujours avec un rire taquin... Evidemment qu'il avait toujours une tête féminine non loin de ses yeux, qu'elle soit blonde, brune, rousse ou de toute autre teinte, il ne manquait nullement de compagnie. Jamais. Avec sincérité, il s'amusa à son tour de l’impertinence enivrante de la bella : « Ce sera probablement le plus difficile, tu as raison. Nous dirons que c'est ma mission à moi, tesoro, nous verrons si je mériterais d'être "payé" à la fin. » Avec un petit clin d’œil évocateur il se laisse tomber sur le dos après ses mots à elle. Les yeux dorénavant clos et l'esquisse d'un sourire en coin, il la laissa un instant roucouler et le caresser sensuellement sans s'y opposer un seul instant. Elle avait ce privilège que peu de femmes avaient. « Comment se passer de toi ? » reprit-il ses paroles avec lascivité en plantant ses deux océans de ténèbres dans ceux chocolats de son amante. « Tu es impossible... » rit-il légèrement en l'entendant se plaindre et lui avancer plus clairement son point de vue sur la situation.

Il sentit la fraîcheur l'étreindre subitement alors que la blonde décida de mener son petit jeu jusqu'au bout. Cesco arqua un sourcil et se redressa légèrement sur le lit pour s'asseoir. Il apprécia la vue que lui offrait intentionnellement la bambola. « Oh, vraiment ? Tu me dirais non, à moi ? » souffla-t-il, provocateur, tout en la relookant de bas en haut sans aucune gêne. Le regard fou de désir de l'italien pouvait avoir quelques similitudes avec celui qu'il arborait lorsqu'il était fou de rage, mais une subtilité existait, et Ivy la connaissait bien. Il n'en fallut pas plus pour qu'il la rejoigne prestement sous la douche. Alors que l'eau coulait délicieusement sur leurs peaux entrelacées, langoureusement, Cesco s'empara des hanches d'Ivy et commença à embrasser lentement chacune de ses parcelles de délice. De son cou à ses épaules, il ne laissait rien au hasard et connaissait ses plus intimes faiblesses. « Dis moi, » gronda-t-il de son ton écorché par la faim de chair. « dis moi ce que tu veux de moi en échange, il n'y a rien que je ne puisse t'offrir pour voir fleurir sur tes lèvres ce si joli sourire. » Joignant ses gestes à ses mots il prit délicatement de la main droite le visage de la blonde pour le tourner légèrement en biais afin qu'ils puissent tous deux se jauger du regard. Il dessina doucement un sourire sur sa joue rosie à l'aide de son index. « Ivy, dolcezza, tu peux me faire confiance. » Faire confiance au Padre relevait en général d'une acceptation de la Mort, mais pas toujours. Il manipulait, il jouait, il tuait tant qu'il voulait, tant qu'il pouvait... Mais jamais il ne ferrait mal, de ses propres mains ou celles des siens, à ses beautés qui partageaient d'agréables moments dans ses bras. « Ce n'est peut-être pas un italien, et il n'est sans doute pas aussi charmant que moi, je te le concèdes, mais il paraîtrait qu'il n'est pas mal du tout, dans son genre. Et... il est surtout plein aux as. Tu me rendrais un immense service en t'occupant de ce cher monsieur pour moi. Et puis, tu sais, c'est lui qui s'occupera bien de toi, je m'en assurerai, comme toujours. »
Revenir en haut Aller en bas
Ivy Sawyer
Team Margarita
Ivy Sawyer
DATE D'INSCRIPTION : 09/11/2015
MESSAGES : 4375

« When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ Empty
MessageSujet: Re: « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎   « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ EmptyDim 12 Mai 2019, 19:43

Elle le sait au plus profond d’elle-même : jamais elle ne pourra résister à cet homme. Il lui suffit d’un regard, d’un battement de cil, d’une caresse, d’une parole rassurante dont il a le secret, elle le sait parfaitement. Alors tenait-elle de gagner un peu de temps, de le laisser mariner un peu avant de lui donner ce qu’il désire, comment toujours. Elle tentait de jouer cette carte de favorite, cette carte qui lui permet bien des avantages aux yeux de l’Italien. Comme celui de pouvoir rester encore un instant dans son lit et de passer un peu plus de temps avec lui. « Ta mission d’accord, te payer, jamais ! Tu me couterais bien trop cher. » Qu’elle rétorque malgré tout, reprenant ses caresses sans jamais se lasser de découvrir ce corps. Elle se mit ensuite à rire en l’entendant dire qu’elle était impossible. Elle l’espérait bien, elle espérait bien être la seule à être traitée de cette manière, elle comptait bien garder cette place au soleil, cette place de privilège, profitant de tous les avantages qu’elle lui donne. Même si elle vient à le défier par moment, c’est certainement ce genre de petite chose qui doit manquer à cet Italien, avoir une petite dose de défi et ne pas tout avoir directement sur un plateau d’or.

Quittant le lit, elle laissa Francesco en prise avec de légers frissons en s’éloignant dans la salle de bain. Marquant un temps d’arrêt pour qu’il puisse l’observer, sourire aux lèvres, pour disparaître dans l’autre pièce. Ce n’est qu’une fois sous la douche qu’Ivy retient son souffle en le voyant arrivé. Certains voyait généralement le diable arrivé, elle, elle ne voyait qu’un homme pour qui elle fondait complètement. Son attitude, sa manière d’agir, d’exiger, il savait toujours ce qu’il voulait et comment il le voulait et rien que pour ça la danseuse l’adorait. Un frisson la parcourut lorsque sa peau rencontra la sienne. Se laissant portée par le contact de ses lèvres, elle ferma les yeux pour en savourer toutes les sensations. Le souffle couper quand il saisit ses hanches, se pressant contre lui pour lui signifier son accord. Elle en voulait plus, comme toujours. La voix de l’Italien la tira d’un rêve où elle s’était enfouie, un sourire peint ses lèvres, sachant pertinemment qu’il revenait à la charge pour la faire accepter un nouveau contrat. Elle se laissa bercer par ses mots, les promesses silencieuses, comme toujours elle marquait un arrêt, ne pouvant réfléchir à toute vitesse lorsqu’il s’agissait de lui et de ses baisers, de ses caresses, elle devenait facile par moment et elle se refusait de lui laisser cette facilité à la modeler à ses envies. « Je ne suis pas aussi facile que les autres … » Qu’elle arrive tout de même à murmurer malgré son cœur qui lui hurlait de céder directement. Elle pouvait lui faire confiance, bien entendu, elle lui avait toujours fait confiance même à partir du moment où elle su qui il était et ce qu’il faisait. La blonde n’en avait que faire de son nom ou de ses actes, tout ce qui l’intéressait était ce qu’elle partageait avec lui, telle une adolescente lors de ses premières amourettes. Pourtant, la danseuse sait à quel point tout cela est voué à un pur échec.

Il continue et elle commence à céder, elle le sait, il ne lui faudra plus beaucoup de temps pour lui demander combien de temps elle serait éloignée de chez elle pour qu’elle puisse tout prévoir. « Je te fais confiance. » Qu’elle affirme en plantant ses yeux dans les siens, laissant ses mains parcourir son corps, s’accrochant autour de la nuque de l’Italien pour ne plus s’en défaire. « Tant qu’il paie, ce n’est pas le principal ? » Qu’elle demande en déposant un baiser à son tour sur le corps de son apollon. « Le seul italien qui m’intéresse, c’est toi. Les autres ne sont qu’une pâle copie. » Qu’elle continue en se hissant sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur les lèvres de Cesco. « Mais c’est uniquement pour toi que j’accepte ce contrat. Et pas parce que ce mec est plein aux as ou plutôt pas mal. » Qu’elle capitule, en peu de temps, en très peu de temps, il avait réussi à la faire céder. Comme toujours. Elle le haïssait pour ça. « Mais j’ai une requête en contre partie. » Elle se fait alors malicieuse, autant dans son regard que dans ses gestes, elle s’amuse de ce semblant de pouvoir qu’elle exerce sur lui. « A mon retour, tu seras à moi toute une semaine, complète, jour et nuit. » Qu’elle exige, pas trop sûre d’elle mais sans le montrer. Elle ne savait pas jusqu’où elle pouvait aller en se plaçant comme favorite de Cesco, elle n’a aucune idée de jusqu’où elle pouvait aller dans ses demandes et elle avait bien peur de pousser les limites de cette relation. Mais qui ne tente rien n’a rien, non ?
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

« When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ Empty
MessageSujet: Re: « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎   « When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎ Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
« When I'm laying close to someone else, you're stuck in my head and I can't get you out of it » Cesco ♥︎
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Dolce vita sanguinosa ~Cesco ~
» Au vent mauvais qui nous emporte ~Cesco ~

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vice et Versa :: Home sweet home-